AS 1 15 1106 |
NOR : MESA0230073C
(Texte non paru au Journal officiel)
Références :
Loi des finances pour l'année 2002 ;
Décret n° 2001-370 du 25 avril 2001 portant majoration à compter du 1er mai 2001 de la rémunération des personnels civils et militaires de l'Etat, des personnels des collectivité territoriales et des établissements publics d'hospitalisation ;
Décret n° 2001-895 du 26 septembre 2001 portant majoration à compter du 1er novembre 2001 de la rémunération des personnels civils et militaires de l'Etat, des personnels des collectivités territoriales et des établissements publics d'hospitalisation ;
Circulaire DAS/RV 1/TS 2 n° 99-469 du 10 août 1999 relative à la mise en oeuvre du plan pluriannuel de création de places pour adultes lourdement handicapés ;
Circulaire DGAS/BBF/5 C n° 2000-524 du 17 octobre 2000 relative au financement de l'avenant 265 à la convention collective nationale du 15 mars 1966 ;
Circulaire DGAS/5 C/3 B n° 2001-31 du 18 janvier 2001 relative à la campagne budgétaire 2001 des CAT.
La ministre de l'emploi et de la solidarité à Madame et Messieurs les préfets de région (directions régionales des affaires sanitaires et sociales) ; Mesdames et Messieurs les préfets de département (directions départementales des affaires sanitaires et sociales) ; Mesdames et Messieurs les directeurs d'agences régionales de l'hospitalisation (pour information) La gestion des enveloppes de financement des centres d'aide par le travail (CAT) s'inscrit à nouveau en 2002 dans le cadre de la politique gouvernementale déjà engagée visant à accroître le nombre de places et à poursuivre le rééquilibrage géographique des moyens consacrés à l'intégration professionnelle des travailleurs handicapés en milieu protégé.
La procédure budgétaire qu'il vous appartient de mettre en oeuvre doit également être mise à profit pour réaliser une évaluation régulière des modalités d'organisation et de la qualité du fonctionnement de chaque établissement.
I. - LA MISE EN OEUVRE DE LA QUATRIEME TRANCHE
DU PLAN PLURIANNUEL DE CRÉATION DE PLACES
L'année 2002 voit se poursuivre l'effort d'équipement des centres d'aide par le travail à hauteur de 1500 places. Il s'agit de la dernière année de la réalisation de la programmation établie dans le cadre de la circulaire n° 99-469 du 10 août 1999 relative à la mise en oeuvre du plan pluriannuel de création de places pour adultes lourdement handicapés. C'est aussi au cours de l'année 2002 que sera assurée la programmation régionale des moyens pour l'année 2003, dernière année du plan pluriannuel (1999-2003).
Je vous rappelle que l'objectif de ce programme est de résorber la situation des jeunes adultes maintenus, faute de places, en établissements d'éducation spéciale, d'absorber le flux de sortie des jeunes sortant de ces établissements et de faire bénéficier très largement les personnes inscrites sur les listes d'attente à la fois des places nouvelles, mais aussi des places libérées par l'évolution des orientations et les sorties de centres d'aide par le travail.
La loi de finances pour l'année 2002 a fixé le montant des crédits budgétaires disponibles.
L'annexe I ci-après indique la répartition de ces crédits entre les régions. Le coût unitaire national à la place, fixé à 9 985 EUR (65 500 F), est modulé de 9 147 EUR à 10 671 EUR afin de poursuivre l'effort de rééquilibrage interrégional. Je vous rappelle qu il vient d' être procédé à la délégation de l'ensemble de ces crédits et, notamment, de ceux, calculés sur 11 mois, correspondant aux places nouvelles réparties par les DRASS entre les départements sur la base de l'exercice de prénotification, après débat en CTRI et CAR.
L'annexe II est destinée à permettre d'assurer un suivi précis des enveloppes. Elle devra être adressée par les DRASS à la DGAS, sous-direction de personnes handicapées, bureau adultes handicapés, DGAS/3 B, avant le 29 mars 2002.
L'annexe III doit permettre d'établir le bilan 2001 d'ouverture effective des places prévues par le plan pluriannuel. Ce bilan, qui porte également sur les demandes non satisfaites (« Creton », listes d'attente, dossiers ayant reçu un avis favorable en CROSS depuis moins de 3 ans, mais non financés) est d'autant plus important qu'il servira de base à la programmation régionale des places nouvelles 2003, comme il est indiqué dans la circulaire du 10 août 1999 précitée. Les DRASS sont invitées à retourner cette annexe, complétée, à la DGAS, sous-direction de personnes handicapées, bureau adultes handicapés, DGAS/3 B, avant le 29 mars 2002.
II. - LA RÉPARTITION DES MOYENS
2.1. Les modalités de répartition des moyens de reconduction
Une dotation, représentant 25 % des crédits reconductibles alloués en 2001, a été déléguée aux préfets de département au cours du mois de décembre 2001, afin d'effectuer les premiers versements aux établissements.
Le taux d'actualisation inscrit en LFI 2002, est fixé à 1,74 % et correspond à une évolution de 2,48 % de la masse salariale (contre 1,62 % et 2,30 % en masse en 2001) sachant que les frais de personnel représentent 70 % des dépenses totales. Il est modulé, entre les régions, de manière inversement proportionnelle aux coûts à la place régionaux constatés fin 2001. Ainsi l'actualisation des dotations régionales initiales, qui vous a été prénotifiée, s'échelonne-t-elle de 1,36 % à 2,24 % (annexe IV).
Les paramètres d'évolution sont les suivants :
a) L'effet de glissement vieillesse technicité (GVT), qui est désormais retenu à hauteur de 0,70 % de la masse salariale pour tenir compte du fait que la mise en oeuvre de l'avenant cadre n° 265 à la convention collective nationale de 1966 infléchit l'évolution du GVT des cadres concernés ;
b) Le solde de l'avenant n° 265 précité, dont les modalités de mise en oeuvre sont précisées dans la circulaire DGAS/BBF/5 C n° 2000/524 du 17 octobre 2000, se traduit en 2002 par une augmentation de 0,35 % de la masse salariale totale. Le montant des crédits notifiés depuis octobre 2000 au titre du financement de cet avenant (1,75 % de la masse salariale de la convention collective de 1966) a été déterminé et arbitré en fonction de prévisions conjointes (syndicats employeurs et financeurs publics). Il doit vous permettre pour le moins de financer le minimum indemnitaire. Il vous appartient donc de ne retenir des propositions des gestionnaires excédant le minimum indemnitaire que celles qui, après expertise par vos services, restent compatibles avec les enveloppes régionales limitatives qui vous sont notifiées ;
c) Mesures salariales générales 2001 :
L'extension en année pleine des augmentations 2001 de la valeur du point se traduit par une augmentation de 0,75 % de la masse salariale des établissements publics et des établissements relevant des autres conventions collectives et de 1 % de la masse salariale des établissements relevant de la convention collective nationale de 1966.
d) Mesures salariales générales 2002 : l'augmentation des traitements dans la fonction publique est prévue à hauteur de 1,3 % (0,6 % au 1er mars 2002 et 0,7 % au 1er décembre 2002). Elle se traduit par une hausse de la masse salariale de 0,558 %. Les dotations régionales intègrent le financement de ces mesures. Concernant le secteur privé non lucratif, il vous est demandé, dans l'attente d'éventuels agréments ministériels, de réserver les financements correspondants.
e) Revalorisation des bas salaires de la fonction publique : le décret n° 2001-370 du 25 avril 2001 prévoit l'attribution de points d'indices au 1er mai 2001 en faveur des agents de la fonction publique dont les indices sont inférieurs à 350. Ces points d'indices supplémentaires sont attribués en fonction des indices majorés des personnels.
Indice majoré < ou = 254 | 5 points |
255 < indice majorée < ou = 263 | 4 points |
264 < indice majoré < ou = 275 | 3 points |
276 < indice majoré < ou = 321 | 2 points |
322 < indice majoré < ou = 350 | 1 points |
2.2. Suivi et contrôle des opérations comptables
et financières liées à la RTT
Il appartient aux services de l'Etat de poursuivre les contrôles relatifs à l'équilibre financier des mesures liées à la mise en oeuvre de la réduction du temps de travail. Pour vous aider à exercer cette mission, les deux lettres de principe DGAS/5 B des 14 septembre 2000 et 2 octobre 2000 sont à votre disposition aux Bulletins officiels n°s 2000/38 et 2000/41 (AS aide et actions sociales AS1 15 - 2685 et 2927).
2.3. Modalités de gestion des crédits sans emploi
Le département qui dégagerait des crédits sans emploi en cours d'année doit en informer prioritairement la DRASS, à qui il appartient, après concertation en CTRI, soit de proposer de les redéployer au niveau régional, soit de les restituer au niveau national. Le bordereau de crédits sans emploi correspondant, accompagné de la nouvelle demande, devra être adressé à la DGAS-sous-direction de personnes handicapées - bureau adultes handicapés - DGAS/3B - au plus tard le 16 août 2002.
III. - RAPPEL DES MISSIONS DES CENTRES
D'AIDE PAR LE TRAVAIL
Les missions des CAT sont précisées par l'article L. 344-2 du code de l'action sociale et des familles et le décret n° 77-1546 du 31 décembre 1977 modifié.
Ces établissements sont destinés, dans le cadre de conditions de travail aménagées, à accueillir les personnes les plus lourdement handicapées parmi celles susceptibles d'exercer des activités à caractère professionnel.
Les CAT doivent, à travers ces activités et l'accompagnement médico-social qu'elles supposent, être un vecteur d'insertion sociale des personnes handicapées dont les capacités physiques et/ou mentales ne leur permettent pas momentanément ou durablement d'intégrer un milieu de travail ordinaire ou moins protégé.
En s'inscrivant à la fois dans le champ social et dans celui de l'économie concurrentielle, les CAT ont un statut à part parmi les institutions sociales. C'est pourquoi ils se trouvent soumis à un double impératif de productivité nécessaire à l'équilibre de leur activité commerciale et de réponse, dans le cadre d'une prise en charge de qualité, aux besoins médico-sociaux des personnes accueillies ayant déterminé la décision d'orientation de la COTOREP.
En effet, la loi n° 2002-2 du 2 janvier 2002 rénovant l'action sociale et médico-sociale met l'accent sur le fait que les actions menées par les établissements médico-sociaux, au nombre desquels figurent les centres d'aide par le travail, doivent permettre d'apporter des réponses, adaptées et régulièrement réévaluées, aux besoins et aux attentes des personnes handicapées qu'ils accueillent.
Ainsi, dans le cadre de vos pouvoirs de contrôle, redéfinis par le nouvel article L. 313-13 du code de l'action sociale et des familles (issu de la loi du 2 janvier 2002 susvisée), il vous appartient, lors de visites sur place avec le concours des médecins inspecteurs de santé publique, d'entendre les personnels, les familles et les usagers des CAT. Il convient, d'une part, de vous assurer que les tâches confiées aux travailleurs handicapés et le rythme de travail sont compatibles avec leur santé, leur sécurité et leur bien être physique ou moral, et donc aussi avec leurs attentes, d'autre part d'évaluer la qualité de l'accompagnement médico-social mis en oeuvre.
Par ailleurs, il convient d'assurer un suivi des conventions signées en application des articles L. 313-8-1 (issu de la loi du 2 janvier 2002) et L. 345-3 du code de l'action sociale et des familles, et de procéder régulièrement à leur révision.
IV. - ORGANISATION ET FONCTIONNEMENT
DES CENTRES D'AIDE PAR LE TRAVAIL
4.1. Le temps de travail des personnes handicapées
Aux termes des lois du 13 juin 1998 et 19 janvier 2000, la durée légale de travail effectif est fixée à 35 heures hebdomadaires pour les salariés. Dans les CAT, comme dans l'ensemble des établissements sociaux et médico-sociaux, l'entrée en vigueur de ces dispositions a été soumise, d'une part à la signature d'accords collectifs, d'autre part à l'agrément de ces accords, en application de l'article L. 314-6 du code de l'action sociale et des familles (ancien article 16 de la loi n° 75-535 du 30 juin 1975).
Dans un souci d'équité et de parallélisme, ces mesures ont été rendues applicables aux travailleurs handicapés admis dans ces établissements.
Par ailleurs, comme pour les salariés, la mise en place de l'aménagement et de la réduction du temps de travail doit être l'occasion d'apporter une attention particulière à l'organisation des activités exercées en CAT, et à leur durée.
Il est désormais impératif que les préconisations faites dans le cadre de la circulaire du 8 décembre 1978 soient respectées dans l'ensemble des CAT et qu'ainsi les travailleurs handicapés effectuent au maximum 35 heures d'activités professionnelles par semaine (soutien de 1er type compris).
Or, les données issues du tableau de bord 1998 des CAT (infodas n° 72 juin 2001) montrent que 47 % des travailleurs handicapés exerçaient encore à cette date plus de 35 heures d'activité professionnelle par semaine, dont 21 % plus de 39 heures.
Le respect de ces préconisations doit permettre aux travailleurs handicapés d'exercer des activités professionnelles dans des conditions adaptées au mieux à leurs capacités, celles-ci étant inférieures au tiers de la capacité normale.
Il est tout autant indispensable, quel que soit le temps de présence appliqué par l'établissement, de veiller à ce que l'aménagement et/ou la réduction du temps de travail n'aient pas pour conséquence la diminution, voire la disparition des activités extra-professionnelles qui contribuent à justifier la vocation médico-sociale des CAT (soutien de 2e type).
4.2. Le contrôle de l'emploi des recettes du budget annexe
de production et de commercialisation
L'article 11 du décret n° 77-1546 du 31 décembre 1977 modifié fixe la répartition des charges et produits des CAT entre le budget principal de l'activité sociale (BPAC) et le budget annexe de production et de commercialisation (BAPC).
Il précise, à ce titre, que les frais entraînés par les soutiens éducatif et médico-social dont bénéficient les personnes handicapées dans le cadre de leur activité à caractère professionnel font partie des charges du budget principal de l'activité sociale de ces établissements.
Il précise également que les charges du budget annexe des activités de production et de commercialisation sont constituées des seuls frais entraînés par ces activités.
Par ailleurs, en application de l'article 20 du décret n° 88-279 du 24 mars 1988 modifié, le financement des charges du budget social, dont font partie les rémunérations des personnels assurant les soutiens susmentionnés, est assuré dans le cadre de la dotation globale de financement, dès lors que les rémunérations versées sont conformes, soit aux grilles en vigueur pour le personnel des établissements publics, soit aux dispositions conventionnelles agréées en application de l'article L. 313-12 du code de l'action sociale et des familles.
Il résulte de l'ensemble de ces dispositions que les dépenses de personnel correspondant notamment à l'octroi d'avantages extra-conventionnels ne sont pas opposables aux financeurs publics dans le cadre du budget social du CAT, mais ne sont pas davantage au nombre des dépenses susceptibles d'être imputées au budget annexe de l'activité de production et de commercialisation de ces structures.
D'une façon générale, il convient de se reporter aux préconisations contenues dans le rapport de la mission d'appui, annexé à la note de service n° 95-31 du 13 janvier 1995 relative aux modalités de déroulement de la campagne budgétaire 1995 des centres d'aide par le travail.
Ainsi, dans le cadre de la négociation budgétaire destinée à arrêter le montant de la dotation globale, il convient de s'assurer de la séparation et de la transparence des budgets social et commercial. A ce titre, il est indispensable de disposer des informations relatives au budget commercial, et par suite, d'en demander la communication. L'étude des modalités de répartition des charges communes entre les deux budgets, négociées selon le guide de négociation des clefs de répartition des charges communes annexé au rapport précité de la mission d'appui, peut notamment être l'occasion de porter une attention particulière aux charges imputées au budget commercial.
Aux termes du guide de contrôle budgétaire (annexe V du rapport) il est ainsi rappelé que le contrôle financier doit porter sur les deux budgets et que tout transfert non justifié de charges ou de produits d'un budget à l'autre doit être analysé.
En tout état de cause, la convention d'aide sociale déjà évoquée, qui concrétise les relations avec les établissements, doit rappeler l'ensemble de ces principes (cf. l'annexe VII du rapport). A ce titre, des dispositions prévoyant la communication, avec le budget social, du compte de résultat prévisionnel du budget annexe de production et de commercialisation, ainsi que la communication, avec le compte administratif du budget social, du compte de résultat de l'activité commerciale, sont proposées.
L'ensemble de ces instruments doit notamment permettre d'apprécier la réalité de la mise en oeuvre des préconisations contenues dans le protocole signé entre les pouvoirs publics et les associations APF, APAJH, UNAPEI et CNPSA le 8 novembre 1989 qui prévoyait que le salaire direct des travailleurs handicapés devait progressivement atteindre 15 % du SMIC. En effet, les recettes du budget commercial doivent permettre d'assurer un niveau aussi élevé que possible de rémunération de ces personnes. Il est de même souhaitable que ces recettes puissent permettre d'allouer un pécule aux personnes admises en CAT pour une période d'essai.
4.3. La répartition des dépenses de travaux entre la section d'exploitation
et la section d'investissement
Les articles 6 et 7 du décret du 24 mars 1988, déjà cité, listent les charges et les produits qui sont imputés respectivement à la section d'investissement et à la section d'exploitation des établissements dont le financement est assuré par l'Etat ou l'assurance maladie.
Il résulte de ces dispositions que les charges inscrites à la section d'exploitation doivent être affectées au fonctionnement courant de l'établissement, à sa gestion financière, aux opérations exceptionnelles, aux dotations aux comptes d'amortissement et de provisions.
Le fait que l'énumération visée à l'article 7 sus-mentionnée soit précédée du terme « notamment » ne doit en aucun cas avoir pour effet de faire supporter à la section d'exploitation des charges d'investissement telles que des travaux amortissables.
En effet, en application de l'article 6 sus-visé, la production ou l'acquisition de biens mobiliers ou immobiliers, les charges liées aux grosses réparations ou encore les frais de premier établissement sont au nombre des charges entrant dans la section d'investissement de l'établissement.
Les économies par rapport aux dépenses approuvées (plus particulièrement celles relatives au compte 615 - entretien et réparations) peuvent néanmoins faire l'objet d'un virement de crédits afin de doter un sous-compte du chapitre 68 relatif aux dotations pour provisions pour travaux.
Cependant, il convient de rappeler que les provisions pour travaux qui sont reprises au compte 78 sont là pour compenser un surcroît de dépenses à ce même compte 615, lequel ne concerne que des travaux non amortissables. Les travaux amortissables doivent être financés dans le cadre de la section d'investissement.
4.4. Gestion des contentieux
Le poids des contentieux dans les charges des CAT est en constante diminution. Cette évolution résulte d'une mise en oeuvre plus stricte des règles de procédure tarifaire et réduit par conséquent les risques de décision défavorable lors de la saisine du juge.
Mais le recours à la procédure contentieuse peut également être limité par la conclusion de contrats d'objectifs et de gestion aux termes desquels l'autorité de contrôle et l'organisme gestionnaire d'un établissement s'engagent, chacun pour ce qui le concerne, sur des orientations à moyen terme, en ce qui concerne l'organisation, le fonctionnement et le financement de ces centres. Le bureau adultes handicapés - DGAS-3B dispose d'éléments susceptibles d'être communiqués sur demande aux services souhaitant s'engager dans cette démarche contractuelle.
En ce qui concerne le suivi financier des contentieux en cours relatifs aux CAT, il vous est demandé de compléter soigneusement la fiche figurant en annexe V et de la retourner à la DGAS, sous-direction de personnes handicapées, bureau adultes handicapés, DGAS/3 B, avant le 29 mars 2002.
4.5. Tableau de bord
Le tableau de bord mis en place par la circulaire n° 94-08 du 15 mars 1994 fait l'objet annuellement d'une synthèse nationale produite par la DGAS (Infodas n° 72, juin 2001). C'est un outil d'évaluation et de planification des CAT, destiné à apporter une vision globale du réseau des établissements, d'en optimiser la gestion en fournissant des indicateurs physiques et financiers permettant notamment d'apporter des éléments au niveau national pour la répartition des crédits et des mesures nouvelles lors des futures campagnes budgétaires. Une synthèse nationale est produite Il vous est demandé de veiller tout particulièrement à la saisie de l'ensemble des données ainsi qu'à leur validation.
La directrice générale de l'action sociale,
S. Léger
ANNEXE I
RÉPARTITION RÉGIONALE DES PLACES NOUVELLES DE CAT - 2002
RÉGIONS | POP 20-59 01/01/2000 | NOMBRE de places fin 2001 | TAUX d'équipement fin 2001 | NOMBRE de places nouvelles 2002 | PLACES 2002 totales | TAUX d'équipement 2002 théorique | COÛT forfaitaire par place en euros | DOTATION régionale sur 12 mois en euros* | DOTATION régionale sur 11 mois en euros |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
1. Alsace | 962 500 | 2 743 | 2,85 | 35 | 2 778 | 2,89 | 10 290 | 360 161 | 330 147 |
2. Aquitaine | 1 540 200 | 5 209 | 3,38 | 51 | 5 260 | 3,42 | 9 985 | 509 256 | 466 818 |
3. Auvergne | 692 700 | 2 527 | 3,65 | 18 | 2 545 | 3,67 | 9 985 | 179 737 | 164 759 |
4. Bourgogne | 837 100 | 2 762 | 3,30 | 26 | 2 788 | 3,33 | 9 985 | 259 621 | 237 986 |
5. Bretagne | 1 509 200 | 5 230 | 3,47 | 48 | 5 278 | 3,50 | 9 985 | 479 300 | 739 358 |
6. Centre | 1 279 800 | 4 074 | 3,18 | 47 | 4 121 | 3,22 | 9 985 | 469 314 | 430 205 |
7. Champagne-Ardenne | 718 100 | 2 473 | 3,44 | 20 | 2 493 | 3,47 | 9 985 | 199 708 | 183 066 |
8. Corse | 138 200 | 357 | 2,58 | 5 | 362 | 2,62 | 9 985 | 49 927 | 45 766 |
9. Franche-Comté | 595 100 | 1 908 | 3,21 | 81 | 1 989 | 3,34 | 9 985-9 147 | 758 510 | 695 301 |
10. Ile-de-France | 6 356 600 | 12 666 | 1,99 | 373 | 13 039 | 2,05 | 9 985 | 3 724 558 | 3 414 178 |
11. Languedoc-Roussillon | 1 185 500 | 4 189 | 3,53 | 39 | 4 228 | 3,57 | 9 985 | 389 431 | 356 978 |
12. Limousin | 361 200 | 1 695 | 4,69 | 8 | 1 703 | 4,71 | 9 985 | 79 883 | 73 226 |
13. Lorraine | 1 240 100 | 4 539 | 3,66 | 33 | 4 572 | 3,69 | 9 985 | 329 519 | 302 059 |
14. Midi-Pyrénées | 1 351 800 | 4 651 | 3,44 | 41 | 4 692 | 3,47 | 9 147 | 375 025 | 343 772 |
15. Nord - Pas-de-Calais | 2 100 900 | 7 990 | 3,80 | 57 | 8 047 | 3,83 | 9 147 | 521 376 | 477 928 |
16. Basse-Normandie | 738 700 | 3 208 | 4,34 | 17 | 3 225 | 4,37 | 10 290 | 174 935 | 160 357 |
17. Haute-Normandie | 953 900 | 2 584 | 2,71 | 41 | 2 625 | 2,75 | 9 985 | 409 402 | 375 285 |
18. Pays de la Loire | 1 688 900 | 5 381 | 3,19 | 58 | 5 439 | 3,22 | 9 985 | 579 154 | 530 891 |
19. Picardie | 995 200 | 3 527 | 3,54 | 30 | 3 557 | ||||
3,57 | 9 985 | 299 562 | 274 599 | ||||||
20. Poitou-Charentes | 841 400 | 2 954 | 3,51 | 24 | 2 978 | 3,54 | 9 985 | 239 650 | 219 679 |
21. PACA | 2 351 100 | 5 955 | 2,53 | 113 | 6 068 | 2,58 | 9 985 | 1 128 351 | 1 034 322 |
22. Rhône-Alpes | 3 078 800 | 9 410 | 3,06 | 115 | 9 525 | 3,09 | 9 985 | 1 148 322 | 1 052 629 |
971. Guadeloupe | 227 600 | 340 | 1,49 | 18 | 358 | 1,57 | 10 671 | 192 086 | 176 079 |
972. Martinique | 205 800 | 340 | 1,65 | 16 | 356 | 1,73 | 9 147 | 146 351 | 134 155 |
973. Guyane | 81 800 | 100 | 1,22 | 8 | 108 | 1,32 | 10 671 | 85 371 | 78 257 |
974. Réunion | 370 100 | 499 | 1,35 | 28 | 527 | 1,42 | 10 671 | 298 800 | 273 900 |
France entière | 32 402 300 | 97 311 | 3,00 | 1 350 | 98 661 | 3,04 | 13 387 310 | 12 271 700 | |
* Pour information |
ANNEXE II
Personne chargée du dossier :
N° de téléphone :
Tableau 1
Répartition des places nouvelles de CAT 2002
DÉPARTEMENTS | NOMBRE total de places allouées | CRÉDITS A DÉLÉGUER au titre des créations de places | CRÉDITS A DÉLÉGUER au titre de l'harmonisation des moyens | TOTAL | |||
---|---|---|---|---|---|---|---|
2002 (sur 11 mois) (A) | 2003 (sur 12 mois (B) | 2002 (C) | 2003 (D) | 2002 (A + C) | 2003 (B + D) | ||
Total régional |
Tableau 2
Informations générales relatives à l'ensemble des CAT existants
MASSE SALARIALE + CHARGES | POURCENTAGE DES CHARGES | EFFECTIF DU PERSONNEL EN ETP | |||||
---|---|---|---|---|---|---|---|
Secteur public : | |||||||
Secteur privé : | |||||||
- Convention collective de 1966 : | |||||||
- Convention collective de 1951 : | |||||||
- Convention collective de 1965 : |
ANNEXE III
Département :
Personne chargée du dossier :
Téléphone :
Bilan des places nouvelles de CAT notifiées à votre département en 2001
NOM de l'établissement et organisme gestionnaire | NOMBRE de places sur dotation 2001 | NATURE de l'opération en nombre de places | DÉFICIENCES des personnes accueillies (2) | NOMBRE de places sur dotation 2001 attribuées aux jeunes adultes * | MOIS d'ouverture des places nouvelles 2001 | NOMBRE de places départementales notifiées avant 2001 mais installées en 2001 Notifiées | ||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Installées (1) | ExtensionCréation Total | |||||||
* Relevant de l'article L. 242-4 du code de l'action sociale et des familles. (1) Veuillez préciser, s'il y a lieu, le nombre de places installées à temps partiel. (2) Retard mental léger, moyen, profond, traumatisme crânien, autisme, déficience sensorielle, handicap moteur, handicap psychique. |
Suivi des orientations et des listes d'attente. - CAT
NOMBRE de première orientation en CAT prononcées en 2001 (flux) | AU 31 décembre 2000 | AU 31 décembre 2001 |
---|---|---|
Nombre de jeunes adultes orientés en CAT mais maintenus en établissements d'éducation spéciale en application de l'article 6-1 bis de la loi n° 75-534 du 30 juin 1975 (stock) | ||
Nombre de personnes ayant fait l'objet d'une orientation en CAT non suivie d'effet, y compris les jeunes adultes précités (stock) | ||
AU 1er mars 2002 | ||
Nombre de places de CAT non financées au 1er mars 2002, ayant fait l'objet d'un avis favorable en CROSS (- de 3 ans) |
ANNEXE IV
DOTATIONS RÉGIONALES DE RECONDUCTION 2002 - CAT
RÉGIONS | NOMBRE de places financées fin 2001 | BASE 2002 en euros (A) | COÛT à la place 2002 EUR | MONTANT de l'actualisation (B) | DOTATIONS régionalisées initiales (hors MN 2002) EUR (A+B) | TAUX d'évolution EUR | NOMBRE de places nouvelles 2002 | COÛT forfaitaire par place EUR | DOTATION régionale de mesures nouvelles sur 11 mois EUR (C) | DOTATION régionale de mesures nouvelles sur 12 mois EUR* | DOTATIONS totales régionalisées initiales (MN 12 mois) EUR* | MONTANT prénotifié 2002 (MN 11 mois) EUR (A + B + C) |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Alsace | 2 743 | 25 233 641 | 9 199 | 549 943 | 25 783 584 | 2,18 % | 35 | 10 290 | 330 147 | 360 161 | 26 143 745 | 26 113 731 |
Aquitaine | 5 209 | 53 625 931 | 10 295 | 962 533 | 54 588 464 | 1,79 % | 51 | 9 985 | 466 818 | 509 256 | 55 097 720 | 55 055 282 |
Auvergne | 2 527 | 26 018 244 | 10 296 | 467 217 | 26 485 461 | 1,80 % | 18 | 9 985 | 164 759 | 179 737 | 26 665 198 | 26 650 220 |
Bourgogne | 2 762 | 28 330 931 | 10 257 | 493 942 | 28 824 873 | 1,74 % | 26 | 9 985 | 237 986 | 259 621 | 29 084 494 | 29 062 859 |
Bretagne | 5 230 | 54 607 799 | 10 441 | 960 546 | 55 568 345 | 1,76 % | 48 | 9 985 | 439 358 | 479 300 | 56 047 645 | 56 007 703 |
Centre | 4 074 | 41 740 692 | 10 246 | 747 581 | 42 488 273 | 1,79 % | 47 | 9 985 | 430 205 | 469 314 | 42 957 587 | 42 918 478 |
Champagne-Ardenne | 2 473 | 25 792 235 | 10 430 | 457 996 | 26 250 231 | 1,78 % | 20 | 9 985 | 183 066 | 199 708 | 26 449 939 | 26 433 297 |
Corse | 357 | 3 876 549 | 10 859 | 64 763 | 3 941 312 | 1,67 % | 5 | 9 985 | 45 766 | 49 927 | 3 991 240 | 3 987 079 |
Franche-Comté | 1 908 | 19 362 554 | 10 148 | 358 500 | 19 721 054 | 1,85 % | 81 | 9 985 | 695 301 | 758 510 | 20 479 564 | 20 416 355 |
Ile-de-France | 12 666 | 136 298 130 | 10 761 | 2 235 786 | 138 533 916 | 1,64 % | 373 | 9 985 | 3 414 178 | 3 724 558 | 142 258 474 | 141 948 094 |
Languedoc-Roussillon | 4 189 | 43 779 977 | 10 451 | 727 180 | 44 507 157 | 1,66 % | 39 | 9 985 | 356 978 | 389 431 | 44 896 588 | 44 864 135 |
Limousin | 1 695 | 17 569 277 | 10 365 | 305 022 | 17 874 299 | 1,74 % | 8 | 9 985 | 73 226 | 79 883 | 17 954 182 | 17 947 525 |
Lorraine | 4 539 | 47 069 054 | 10 370 | 834 533 | 47 903 587 | 1,77 % | 33 | 9 985 | 302 059 | 329 519 | 48 233 106 | 48 205 646 |
Midi-Pyrénées | 4 651 | 51 914 159 | 11 162 | 786 222 | 52 700 381 | 1,51 % | 41 | 9 147 | 343 772 | 375 025 | 53 075 406 | 53 044 153 |
Nord - Pas-de-Calais | 7 990 | 89 309 667 | 11 178 | 1 426 274 | 90 735 941 | 1,60 % | 57 | 9 147 | 477 928 | 521 376 | 91 257 317 | 91 213 869 |
Basse-Normandie | 3 208 | 29 041 553 | 9 053 | 651 512 | 29 693 065 | 2,24 % | 17 | 10 290 | 160 357 | 174 935 | 29 868 000 | 29 853 422 |
Haute-Normandie | 2 584 | 26 539 135 | 10 271 | 462 210 | 27 001 345 | 1,74 % | 41 | 9 985 | 375 285 | 409 402 | 27 410 746 | 27 376 629 |
Pays-de-la-Loire | 5 381 | 55 283 010 | 10 274 | 981 677 | 56 264 687 | 1,78 % | 58 | 9 985 | 530 891 | 579 154 | 56 843 841 | 56 795 578 |
Picardie | 3 527 | 36 590 045 | 10 374 | 635 556 | 37 225 601 | 1,74 % | 30 | 9 985 | 274 599 | 299 562 | 37 525 163 | 37 500 200 |
Poitou-Charentes | 2 954 | 30 572 773 | 10 350 | 544 480 | 31 117 253 | 1,78 % | 24 | 9 985 | 219 679 | 239 650 | 31 356 903 | 31 336 932 |
PACA | 5 955 | 63 972 464 | 10 743 | 1 070 622 | 65 043 086 | 1,67 % | 113 | 9 985 | 1 034 322 | 1 128 351 | 66 171 437 | 66 077 408 |
Rhône-Alpes | 9 410 | 96 668 240 | 10 273 | 1 753 362 | 98 421 602 | 1,81 % | 115 | 9 985 | 1 052 629 | 1 148 322 | 99 569 924 | 99 474 231 |
Guadeloupe | 340 | 3 768 180 | 11 083 | 57 990 | 3 826 170 | 1,54 % | 18 | 10 671 | 176 079 | 192 086 | 4 018 256 | 4 002 249 |
Martinique | 340 | 4 175 296 | 12 280 | 57 045 | 4 232 341 | 1,37 % | 16 | 9 147 | 134 155 | 146 351 | 4 378 692 | 4 366 496 |
Guyane | 100 | 1 100 999 | 11 010 | 17 925 | 1 118 924 | 1,63 % | 8 | 10 671 | 78 257 | 85 371 | 1 204 295 | 1 197 181 |
Réunion | 499 | 5 417 610 | 10 857 | 73 670 | 5 491 280 | 1,36 % | 28 | 10 671 | 273 900 | 298 800 | 5 790 080 | 5 765 180 |
France entière | 97 311 | 1 017 658 145 | 10 458 | 17 684 087 | 1 035 342 232 | 1,74 % | 1 350 | 12 271 700 | 13 387 310 | 1 048 729 542 | 1 047 613 932 | |
* Pour information. |
ANNEXE V
DÉPARTEMENT :
Personne chargée du dossier :
Téléphone :
Fiche de suivi financier des contentieux CAT
NOM de l'établissement | CONTENTIEUX DÉFINITIVEMENT JUGÉS | CONTENTIEUX EN INSTANCE DE JUGEMENT | |||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Exercice budgétaire concerné | Dates des décisions de justice | Montant total du contentieux | Montant restant dû au 1er janvier 2002 | Exercice budgétaire concerné | Montant demandé par l'association gestionnaire (1) | Etat de la procédure | |||
En première instance | En appel | En première intance | En appel | ||||||
Total | |||||||||
Les services doivent veiller à éviter un double paiement des contentieux : si le montant du litige a été financé totalement par le reprise de résultat dans l'année N + 2, il n'a pas lieu d'être ensuite repayé et ne doit donc pas figurer dans la colonne « Montant restant dû ». (1) Par montant demandé par le gestionnaire, il faut entendre le différentiel de DGF demandé au juge du tarif par le gestionnaire |
ANNEXE VI
répartition régionale des emplois créés au titre de la rtt (fph)
secteur personnes handicapées
Région | Mesure RTT (FPH) totale | Année 2002 | Solde RTT (FPH) | |||
---|---|---|---|---|---|---|
Nombre d'ETP | Coût en euros | Nombre d'ETP | Coût en euros | Nombre d'ETP | Coût en euros | |
Ile-de-France | 2,16 | 78 207 | 1,00 | 36 207 | 1,16 | 42 000 |
Champagne-Ardenne | 1,33 | 48 155 | 0,50 | 18 104 | 0,83 | 30 051 |
Picardie | 6,76 | 244 759 | 2,50 | 90 518 | 4,26 | 154 241 |
Haute-Normandie | 4,53 | 164 018 | 1,50 | 54 311 | 3,03 | 109 707 |
Centre | 0,00 | 0 | 0 | 0 | 0,00 | 0 |
Basse-Normandie | 1,99 | 72 052 | 0,50 | 18 104 | 1,49 | 53 948 |
Bourgogne | 2,63 | 95 224 | 1,00 | 36 207 | 1,63 | 59 017 |
Nord - Pas-de-Calais | 5,87 | 212 535 | 2,00 | 72 414 | 3,87 | 140 121 |
Lorraine | 7,38 | 267 208 | 2,50 | 90 518 | 4,88 | 176 690 |
Alsace | 0,00 | 0 | 0,00 | 0 | 0,00 | 0 |
Franche-Comté | 2,88 | 104 276 | 1,00 | 36 207 | 1,88 | 68 069 |
Pays de la Loire | 2,83 | 102 466 | 1,00 | 36 207 | 1,83 | 66 259 |
Bretagne | 4,65 | 168 363 | 1,50 | 54 311 | 3,15 | 114 052 |
Poitou-Charentes | 5,94 | 215 070 | 2,00 | 72 414 | 3,94 | 142 656 |
Aquitaine | 4,88 | 176 690 | 2,00 | 72 414 | 2,88 | 104 276 |
Midi-Pyrénées | 5,28 | 191 173 | 2,00 | 72 414 | 3,28 | 118 759 |
Limousin | 2,98 | 107 897 | 1,00 | 36 207 | 1,98 | 71 690 |
Rhône-Alpes | 3,03 | 109 707 | 1,00 | 36 207 | 2,03 | 73 500 |
Auvergne | 1,58 | 57 207 | 0,50 | 18 104 | 1,08 | 39 103 |
Languedoc-Roussillon | 0,41 | 14 845 | 0,50 | 18 104 | - 0,09 | - 3 259 |
Provence - Alpes - Côte d'Azur | 2,62 | 94 862 | 1,00 | 36 207 | 1,62 | 58 655 |
Corse | 0,00 | 0 | 0,00 | 0 | 0,00 | 0 |
Guadeloupe | 0,00 | 0 | 0,00 | 0 | 0,00 | 0 |
Martinique | 0,00 | 0 | 0,00 | 0 | 0,00 | 0 |
Guyane | 0,00 | 0 | 0,00 | 0 | 0,00 | 0 |
Réunion | 0,00 | 0 | 0,00 | 0 | 0,00 | 0 |
Total | 69,73 | 2 524 714 | 25,00 | 905 179 | 44,73 | 1 619 535 |
ANNEXE VII
RÉGION :
Personne chargée du dossier :
Téléphone :
Nombre d'ETP à financer dans chaque région au titre de la RTT
dans les centres d'aide par le travail relevant de la fonction publique hospitalière
DÉPARTEMENTS | DÉSIGNATION DU CAT relevant de la FPH | NOMBRE D'ETP total budgété au titre du CAT | NOMBRE D'ETP à financer (6 % des ETP budgétés) | MONTANT DES EMPLOIS à financer (*) (coût par ETP = 36 207 EUR) |
---|---|---|---|---|
Total régional | ||||
* Les montants seront indiqués en euros. |