SP 3 332 2630 |
NOR : MESH0230374C
(Texte non paru au Journal officiel)
Date d'application : immédiate.
Références :
Loi n° 2001-1246 du 21 décembre 2001 de financement de la sécurité sociale pour 2002 (JO du 26 décembre 2001) ;
Articles LO 111-3 et L. 174-6 et 7 du code de la sécurité sociale ;
Loi n° 2001-647 du 20 juillet 2001 relative à la prise en charge de la perte d'autonomie des personnes âgées et à l'allocation personnalisée d'autonomie, notamment les articles 5, 6 et 10 ;
Loi n° 2002-2 du 2 janvier 2002 rénovant l'action sociale et médico-sociale ;
Loi n° 2002-303 relative aux droits des malades et à la qualité du système de soins notamment l'article 96 ;
Décrets n° 99-316 du 26 avril 1999 relatif aux modalités de tarification et de financement des établissements hébergeant des personnes âgées dépendantes (EHPAD) et n° 99-317 du 26 avril 1999 relatif à la gestion budgétaire et comptable des EHPAD modifiés par le décret du 4 mai 2001 ;
Décrets n° 2001-1085 du 20 novembre 2001 portant application de la loi n° 2001-647 du 20 juillet 2001 relative à la prise en charge de la perte d'autonomie des personnes âgées et à l'allocation personnalisée d'autonomie, notamment l'article 24 ;
Décrets n° 2001-1086 du 20 novembre 2001 portant application de la loi n° 2001-647 du 20 juillet 2001 relative à la prise en charge de la perte d'autonomie des personnes âgées et à l'allocation personnalisée d'autonomie ;
Décret n° 81-448 du 8 mai 1981 relatif aux conditions d'autorisation et de prise en charge des services de soins infirmiers à domicile pour personnes âgées ;
Instruction ministérielle du 14 novembre 2001 relative à la réduction du temps de travail dans les établissements et services pour personnes âgées, complétée par celle du 10 janvier et 10 avril 2002 ;
Circulaire n° 2001-241 du 29 mai 2001 relative à la mise en oeuvre des décrets n° 99-316 et n° 99-317 du 26 avril 1999 modifiés par le décret n° 2001-388 du 4 mai 2001 relatif au financement de la tarification des établissements hébergeant des personnes âgées dépendantes ;
Circulaire n° 2001-569 du 27 novembre 2001 relative à la campagne budgétaire 2002 pour les établissements relevant de l'article 5 de la loi APA et au traitement de l'excédent de la section soin prévu à l'article 30 du décret n° 99-316 (dit clapet anti-retour).
N.B. : la circulaire n° 2000-475 du 15 septembre 2000 relative à la mise en oeuvre de la réforme de la tarification dans les EHPAD est abrogée.
La ministre de l'emploi et de la solidarité, la secrétaire d'Etat aux personnes âgées à Madame et Messieurs les préfets de Région (directions régionales des affaires sanitaires et sociales [pour mise en oeuvre]) ; Mesdames et Messieurs les directeurs des agences régionales de l'Hospitalisation (pour mise en oeuvre) ; Mesdames et Messieurs les préfets de département (directions départementales des affaires sanitaires et sociales [pour mise en oeuvre]) L'année 2002 sera marquée par une accélération décisive de la politique d'aide aux personnes âgées dépendantes à domicile et en établissement. La loi du 20 juillet 2001 relative à la prise en charge de la perte d'autonomie des personnes âgées et à l'allocation personnalisée d'autonomie prévoit en effet la prise en charge financière de la perte d'autonomie des personnes âgées, en créant une nouvelle prestation - l'allocation personnalisée d'autonomie - et en soutenant l'offre de services à domicile.
En complément à ces dispositions, les objectifs visant à assurer une bonne qualité des conditions de vie des résidents ainsi que des prestations de soins qu'ils peuvent recevoir - à domicile comme en établissement - sont poursuivis à travers l'application des différents plans de médicalisation.
De plus, dans le cadre du programme annoncé le 11 octobre 2001 en faveur des personnes souffrant de la maladie Alzheimer ou de maladies apparentées, il a été prévu de développer des modalités d'accueil des personnes âgées alternatives à l'hébergement complet. Dans ce cadre, des plans pluriannuels de financement visant à créer des places d'accueil de jour et d'hébergement temporaire ont été adoptés.
Par ailleurs, compte tenu du nombre important de personnes âgées accueillies à l'hôpital, il devenait indispensable d'améliorer l'accès à la gériatrie au sein de l'hôpital, ce que permettront les mesures nouvelles adoptées.
Enfin, afin de développer les réseaux de santé et de garantir leur pérennité, un cadre de financement spécifique des réseaux a été prévu par la loi de financement de la sécurité sociale pour 2002.
La présente circulaire a pour objet de déterminer les dotations régionales provisoires de dépenses d'assurance maladie au bénéfice des établissements et structures sanitaires (unités de soins de longue durée) et médico-sociaux pour personnes âgées pour l'année 2002, au titre de la première notification de crédits. Le montant des dotations sera confirmé par l'arrêté ministériel fixant les dotations régionales limitatives.
De plus, les dotations régionales seront abondées en cours d'année, notamment afin de répartir le complément des mesures nouvelles, en fonction du rythme de signature des conventions tripartites.
Pour 2002, l'objectif de dépenses afférentes aux soins dispensés dans les établissements et services médico-sociaux accueillant des personnes âgées est fixé à 3,2 milliards d'euros soit une progression en taux de 11,92 % par rapport à l'objectif 2001 (10,58 % hors RTT). Par ailleurs, cet objectif est augmenté des transferts des soins de ville. L'objectif de dépenses d'assurance maladie pour 2002 est ainsi de 3,05 milliards d'euros (après déduction des crédits réseaux).
En ce qui concerne les unités de soins de longue durée, l'objectif national de dépenses d'assurance maladie pour 2002 est de 1,301 milliard d'euros pour la métropole, soit une progression de 4,62 % (2,97 % hors RTT) par rapport à l'objectif 2001.
I. - POURSUITE DES ENGAGEMENTS ANTÉRIEUREMENT PRIS DANS LE CADRE DES PLANS PLURIANNUELS VISANT À AMELIORER LA MÉDICALISATION ET MESURES NOUVELLES
1. La poursuite des engagements pris antérieurement visant à accroître
la médicalisation des prestations offertes en établissement et à domicile
1.1. La réforme de la tarification des EHPAD
1.1.1. Priorités pour l'année 2002
La priorité donnée à la détermination des tarifs afférents à la dépendance afin de permettre aux résidents de bénéficier de l'allocation personnalisée d'autonomie dès le 1er janvier 2002 (en application de l'article 5 de la loi du 20 juillet 2001) a pu se traduire par un ralentissement des négociations en cours. En revanche, il a permis d'accélérer les travaux d'analyse budgétaire nécessaires au passage à la tarification ternaire. Elle ne doit donc pas en affecter l'objectif en terme de signature de conventions. En effet, il est de l'intérêt des résidents et des établissements qu'une convention tripartite puisse être appliquée rapidement.
A cet égard, s'il est primordial de promouvoir la qualité des prestations offertes aux résidents, selon les exigences définies dans le cahier des charges du 26 avril 1999, il ne saurait être question de demander aux établissements de répondre dès la signature de la convention tripartite à l'ensemble des recommandations du cahier des charges.
Pour se situer dans une démarche d'amélioration de la qualité, l'établissement effectue une auto-évaluation à l'aide de l'outil « Angélique ». Sur la base des points faibles à améliorer, il convient que les établissements ciblent 1 ou 2 (3 au plus) objectifs significatifs d'amélioration de la qualité qui peuvent à court ou à moyen terme, être atteints. Ces objectifs sont alors repris dans la convention tripartite. En effet, il faut souligner le caractère contractuel et pluriannuel de cette convention qui doit permettre à l'établissement de poursuivre sa démarche qualité en programmant dans le temps les différentes actions qui y contribuent. De façon symétrique, l'autorité compétente de l'Etat a la faculté de programmer le cas échéant une montée en charge des moyens financiers corrélatifs et de l'évaluation des objectifs proposés ; une clause de rendez-vous prévue périodiquement est susceptible de favoriser cette démarche.
Je vous rappelle l'objectif de 50 % de conventions tripartites signées à la fin du 1er semestre 2002. Vous veillerez particulièrement à ce que toutes les demandes de conventionnement des établissements soient instruites dans les meilleurs délais, en vous accordant dans toute la mesure du possible avec les autorités départementales sur un rythme d'avancement des travaux et un ordre de priorité des établissements. Vous pourrez utilement poursuivre une concertation sur cette stratégie départementale au sein du comité départemental de suivi de la réforme.
Le financement de la médicalisation des EHPAD par l'obtention de mesures nouvelles et de transferts d'enveloppe, se poursuit en 2002. La tranche 2002 du plan pluriannuel de médicalisation des EHPAD s'élève à 182.94 MEUR (1 200 MF) ; elle permet le financement des extensions en année pleine des mesures nouvelles 2001 à hauteur de 59,46 MEUR (390 MF) et des conventions signées au cours de l'année 2002 pour un montant de 123,48 M EU (810 MF).
Ainsi, en sus des crédits déjà notifiés et disponibles dans vos régions (122,57 MEUR [804 MF]), la présente circulaire procède à une première notification qui porte sur :
- une première partie de la tranche pluriannuelle 2002, soit 60,98 MEUR (400 MF) ;
- les extensions en année pleine des conventions tripartites conclues en 2001, soit 59,46 MEUR (390 MF) ;
- l'intégration des dépenses de soins de ville intégrées dans les tarifs de soins des structures, soit 44,34 MEUR (290,85 MF).
L'annexe n° I - a indique les clés de répartition retenues et le montant régional des mesures nouvelles 2002 notifiées.
Pour des raisons de simplicité, les mesures nouvelles, dont le montant couvre les deux champs, sont notifiées au sein des dotations régionales médico-sociales. Ces crédits doivent être utilisés indifféremment dans le secteur médico-social et sanitaire, conformément aux objectifs énoncés. Cette fongibilité entre les deux enveloppes doit cependant faire l'objet d'un suivi dont les modalités sont détaillées dans les annexes III de la circulaire budgétaire du 26 janvier 2001.
Les notifications ultérieures des mesures nouvelles de médicalisation seront effectuées à partir des simulations régionales d'application de la réforme de la tarification issues de l'outil Angele. Les régions sont invitées à transmettre par messagerie à marc.bourquin@sante.gouv.fr. leurs synthèses régionales à l'appui de toute demande de financement complémentaire.
Les difficultés rencontrées par les services quant à la saisie des informations propres à chaque établissement doivent être surmontées à ce jour. En effet, tous les établissements ont été invités, dans le cadre de la préparation de la campagne budgétaire pour 2002, à présenter leurs budgets en ternaire. De plus, les informations relatives aux transferts de charges - même si elles ne sont pas, à ce stade, validées par les conseils généraux - sont connues.
Par ailleurs, comme cela vous a été précisé lors des journées de formation organisées en septembre dernier, les données nécessaires à la simulation des effets financiers de la réforme de la tarification sont limitatives (cf. annexe n° I - g).
La version « euro » du logiciel vous permettant de convertir automatiquement les données saisies en francs vous sera envoyée très rapidement.
1.1.2. Structures concernées par les crédits prévus
au titre de la médicalisation des EHPAD
Les mesures nouvelles correspondant à la réforme de la tarification des EHPAD doivent être utilisées au bénéfice des structures existantes ou qui se créent au cours de l'année (il n'existe pas d'enveloppe spécifique pour les nouveaux établissements), indépendamment de l'activité de prise en charge des personnes âgées qui est développée.
Près de la moitié des résidents vivant en établissement connaissent une détérioration de leur état intellectuel. Or, dans leur grande majorité, ces établissements sont insuffisamment adaptés à l'accompagnement des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer ou d'une maladie apparentée. C'est pourquoi certains établissements se sont spécialisés dans l'accueil de cette population. D'autres ont créé de petites unités (par exemple de type « Cantou » au sein d'une institution de plus grande taille. L'adaptation de tous les EHPAD, indispensable à court terme, fait partie des axes prioritaires d'amélioration de la qualité négociables dans le cadre des conventions tripartites ; ils ont d'ailleurs été rappelés par les ministres comme l'un des axes du « programme pour personnes âgées souffrant de la maladie d'Alzheimer ou de maladies apparentées ».
Les règles relatives au financement par l'assurance maladie de la prise en charge de ces personnes sont prévues dans la circulaire relative à la prise en charge des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer ou de maladies apparentées.
En ce qui concerne les établissements qui se créent, les dispositions de la circulaire budgétaire du 26 janvier 2001 (paragraphe 1.1.4) restent applicables. Un suivi permettant d'identifier ces nouveaux établissements est prévu. L'annexe I - f de la présente circulaire devra être remplie pour le 15 novembre 2002 et adressée à la DHOS, bureau F 2.
Etablissements dans lesquels le GIR moyen pondéré
est inférieur à 300
Conformément aux dispositions du décret n° 2001-1086 du 20 novembre 2001, les établissements dont le GMP est supérieur à 300 sont tenus de conclure la convention tripartite d'ici le 31 décembre 2003 et de mettre en place une tarification ternaire. Dans la mesure où le GMP peut varier en plus ou en moins conjoncturellement, ce critère doit bien entendu s'étendre sur la longue période.
Les établissements dont le GMP est inférieur à 300 ne sont pas tenus à cette obligation (mêmes s'ils peuvent se porter volontaires pour le conventionnement s'ils prévoient, notamment de dépasser le seuil de 300 à court ou moyen terme).
Les résidents de ces établissements, s'ils répondent aux conditions générales d'ouverture du droit à l'APA, peuvent bénéficier d'un plan d'aide individualisé qui doit totaliser les aides procurées par l'établissement lui même évalué dans le tarif dépendance de l'établissement selon les dispositions des articles 5, 6 et 7 du décret n° 2001-1086 du 20 novembre 2001, et les autres aides de toute nature évaluées dans les mêmes conditions qu'à domicile.
Parmi les établissements appelés à passer convention tripartite (GMP supérieur à 300 ou établissements volontaires), ceux qui ont moins de 25 places ou dont le GMP est inférieur à 300 peuvent ne pas se doter de section tarifaire soins et de budget soins propre. La médicalisation peut en effet assurée par des ressources externes à l'établissement : SSIAD, soins de ville.
De même, les moyens relatifs aux anciens forfaits de soins courants pourront, lorsque les établissements ne relèveront plus de l'article 5 de la loi du 20 juillet 2001, être redéployés.
1.2. L'aide au soutien à domicile des personnes âgées
par la création de places de services de soins infirmiers à domicile
En 2000, le Gouvernement a lancé un plan de médicalisation qui vise à doubler le rythme de création de places nouvelles en SSIAD au bénéfice des personnes âgées. Ainsi, c'est un total de 20 000 places qui seront créées de 2001 à 2005 pour un montant de 182,94 millions d'euros, soit un coût moyen annuel de 36,59 millions d'euros.
Une enveloppe de 28,26 millions d'euros est destinée, en 2002, à la création de 3 807 places de services de soins infirmiers à domicile (au lieu de 4 000 compte tenu du fait que le coût de la place créée a été revalorisé).
Ces moyens correspondent à 9 mois de fonctionnement ; l'extension en année pleine de ces places sera assurée en 2003.
Au niveau régional, il conviendra de veiller à la correction des inégalités entre départements en prenant spécifiquement en compte le taux d'équipement. Il est, par ailleurs, souhaitable que les zones où sont implantés des établissements de petite taille qui ne souhaitent pas entrer dans la réforme de la tarification puissent bénéficier de places de SSIAD supplémentaires par extension de services existants ou par création de nouveaux services.
La création de places nouvelles doit prendre en compte essentiellement les besoins de la population et l'activité des services existants.
Les modalités de répartition et de notification de ces places figurent en annexe n° I - b.
Au-delà de ce plan de création, il convient de souligner que la circulaire du 27 novembre 2001 a prévu comme modalité de résorption du montant du clapet anti-retour, le financement de places de SSIAD.
Parallèlement, un projet de décret visant à prolonger les missions des services de soins infirmiers à domicile, en les transformant en services polyvalents d'aides et de soins à domicile et en leur permettant d'intervenir au bénéfice de personnes handicapées adultes plus jeunes, et de personnes adultes atteintes de maladies chroniques invalidantes notamment, est en cours de finalisation et devrait être publié en 2002.
L'organisation d'une véritable coordination dans la prise en charge de ces publics, tant sur le plan sanitaire que sur le plan médico-social, est l'une des clés de la réussite d'une politique de soutien à domicile efficace.
2. Les mesures nouvelles de prise en charge des personnes âgées
2.1. Le développement d'une offre de soins alternative à l'hébergement permettant de prendre en charge des personnes atteintes de la maladie d'Alzheimer ou de maladies apparentées : l'accueil de jour et l'hébergement temporaire
Dans le cadre du programme annoncé le 11 octobre 2001 par les ministres en faveur des personnes souffrant de la maladie d'Alzheimer ou de maladies apparentées, deux mesures permettent une meilleure prise en charge de ces personnes vivant à domicile, en leur offrant, sur une durée limitée, la possibilité d'un accueil en institution. Ces deux mesures - le développement de l'accueil de jour et de l'hébergement temporaire - constituent des solutions alternatives favorisant un soutien à domicile dans de meilleures conditions, tant pour les personnes malades que pour leurs aidants.
2.1.1. L'accueil de jour
Ce mode d'accueil permet de recevoir pour une ou plusieurs journées par semaine, voire par demi-journées, dans des structures autonomes ou rattachées à une autre structure telle qu'un établissement d'hébergement pour personnes âgées dépendantes, des personnes présentant une détérioration intellectuelle et vivant à domicile.
Le programme d'action annoncé en octobre dernier prévoit la création de 7 000 places supplémentaires sur une période de 4 ans (soit 1 750 places par an en moyenne).
Ces places bénéficieront d'un financement au titre de l'assurance maladie sous réserve de répondre aux dispositions du cahier des charges relatif à la création de ce type de structures, notamment en termes d'objectifs d'accompagnement des personnes accueillies et de qualification des professionnels ; il vous sera communiqué prochainement 2002.
Il vous est notifié une enveloppe de 12,01 MEUR (78,75 MF) dont vous trouverez la répartition par région en annexe n° I - c.
Ces moyens ont été calculés sur la base d'un coût moyen pour l'assurance maladie de 22,87 euros (150 F) par personne et par jour et d'une ouverture 300 jours par an.
En ce qui concerne les autres frais restant à la charge de la personne âgée, ils pourront être pris en charge en partie par l'allocation personnalisée d'autonomie.
2.1.2. L'hébergement temporaire
La diversité des modes de prise en charge et d'accompagnement des personnes atteintes de troubles démentiels vivant à domicile répond à la nécessité de soutenir l'action des familles tout en évitant tant des situations de rupture que de maltraitance. Le développement des places d'hébergement temporaire, dont le nombre paraît insuffisant à ce jour, répond à cet objectif. Ainsi, 3 000 places nouvelles à échéance de 4 ans (750 par an en moyenne) seront créées.
Il vous est notifié une enveloppe de 7,55 MEUR (49,5 MF) dont vous trouverez la répartition par région en annexe n° I - d.
Ces moyens ont été calculés sur la base d'un coût moyen pour l'assurance maladie de 33,54 euros (220 F) par personne et par jour et d'une ouverture 300 jours par an.
Bien entendu, en plus de ces créations spécifiques, les établissements qui disposent conjecturalement de quelques places libres à un moment ou à un autre, et qui sont organisés pour cela peuvent pratiquer des accueils temporaires, comme cela se fait couramment ; toute place d'accueil permanent peut, si elle est libre, servir à l'accueil temporaire si le projet institutionnel de l'établissement le prévoit.
Enfin, en fonction des besoins de votre région en places d'accueil de jour et d'hébergement temporaire, vous pourrez procéder à une opération de fongibilité entre ces deux enveloppes, dans le respect de l'enveloppe globale.
2.2. Mesures de santé publique en matière de gériatrie
Sur la base du constat établi selon lequel les personnes âgées de soixante-quinze ans et plus avaient davantage recours au dispositif de santé que les autres classes d'âge, de nouvelles mesures de gériatrie ont été annoncées pour 2002.
A l'hôpital, plus d'un tiers des séjours en services de soins, de médecine et chirurgie notamment, concernent la population, et le taux d'hospitalisation est particulièrement élevé pour les personnes âgées de soixante-quinze ans et plus. C'est dire l'importance d'offrir un accueil et une prise en charge adaptée aux personnes âgées à l'hôpital.
C'est pourquoi, en 2002, de nouvelles mesures destinées à développer l'accès à la gériatrie au sein de l'hôpital sont financées.
En priorité, ces mesures ont pour objectif de servir au développement d'unités individualisées de court séjour gériatrique (services ou unités fonctionnelles). Les établissements siège de SAU ont vocation à comporter de telles unités, toutefois des conditions locales particulières liées à la démographie devront aussi être prise en compte dans le choix des sites prioritaires.
A cette fin, les équipes hospitalières seront renforcées en personnel spécialisé permettant des prises en charge pluridisciplinaires : gériatre, masseur-kinésithérapeute, ergothérapeutes ou psychomotricien, infirmières de prévention, psychologues et assistant de service de service social. Ces équipes, outre leur mission en court séjour gériatrique, pourront intervenir aux urgences ou dans les autres services hospitaliers.
En 2002, 8,23 millions d'euros serviront au développement de la gériatrie à l'hôpital. Ces crédits sont inscrits dans l'ONDAM sanitaire des unités de soins de longue durée. Un transfert de ce montant est effectué au bénéfice de l'enveloppe sanitaire (hors ULSD).
La répartition des crédits a été effectuée entre les régions, en se basant sur la population âgée de plus de soixante-quinze ans de ces mêmes régions et en instituant un seuil minima (tableau joint en annexe n° I - e).
Cette répartition vous sera confirmée dans le cadre de la deuxième circulaire budgétaire relative aux établissements de santé financés sous dotation globale.
Vous pouvez néanmoins mener dès à présent les travaux préparatoires afin d'être en mesure d'allouer rapidement les crédits aux établissements.
3. Le développement des réseaux
Le développement des réseaux répond à une tendance lourde qui vise à repenser l'organisation du système de soins autour d'une logique centrée sur le patient, décloisonnant l'offre entre la ville et l'hôpital, le sanitaire et le social, entre généralistes et spécialistes et en permettant de répondre d'une manière globale et coordonnée aux besoins des personnes là où ils s'expriment.
L'article 36 de la loi de financement de la sécurité sociale pour 2002 instaure un cadre de financement pérenne des réseaux de santé en mettant en place une procédure unique d'octroi de financements. Il prévoit également la possibilité de financements dérogatoires au droit commun. Les financements seront attribués par décision conjointe du directeur de l'agence régionale de l'hospitalisation et du directeur de l'union régionale des caisses d'assurance maladie.
La mise en oeuvre de ces nouvelles procédures sera précisée par un décret d'application à paraître au cours du premier semestre 2002. Les décisions que vous serez susceptibles de prendre en relation avec les directeurs d'URCAM ne pourront intervenir qu'après la publication de ce texte.
Par ailleurs, un arrêté précisera le montant de chaque enveloppe limitative régionale.
II. - CONSTRUCTION DES DOTATIONS RÉGIONALES POUR 2002
1. La définition des bases régionales pour 2002
1.1. Les fongibilités entre enveloppes médico-sociales
et sanitaires intervenues en 2002
1.1.1. Hors conventions tripartites
Les dotations de crédits d'assurance maladie du secteur médico-social et sanitaire pour personnes âgées au titre de l'année 2002 ont préalablement été ajustées des crédits transférés durée l'année par les DDASS/DRASS ou ARH.
Pour le médico-social personnes âgées le montant global de ces transferts se traduit par une diminution de l'enveloppe nationale de dépenses d'assurance maladie de 6,53 millions d'euros. Il se décline comme suit :
Ces mouvements traduisent l'adaptation permanente des établissements qui sont amenés à se recomposer permettant ainsi de développer une offre de soins plus importante ou d'améliorer la prise en charge de certaines populations notamment dans le secteur médico-social.
Ces opérations de transferts doivent être retracées dans les annexes n° II - h et transmises par les services régionaux à la DHOS, au plus tard pour le 1er septembre 2002. Les projets de transferts entre les sous-enveloppes 4 « personnes handicapées » et 3 « personnes âgées » doivent être envoyés d'une part, à la DGAS (bureau BBF) et d'autre part, à la DHOS (bureau F 2).
Pour que les mouvements de transferts mentionnés soient retenus, il est impératif que toutes les informations demandées dans ces tableaux soient renseignées. Par ailleurs, des taux de conversions applicables aux mouvements de fongibilité s'appliquent entre les différents enveloppes de l'ONDAM. Une instruction spécifique plus détaillée sur ce sujet vous sera adressée prochainement.
Le logiciel GEODE sanitaire doit continuer à être utilisé. J'appelle cependant votre attention sur la nécessité de préciser la nature de l'opération de transfert envisagée.
1.1.2. Dans le cadre des conventions tripartites
L'utilisation des mesures nouvelles de médicalisation au bénéfice des établissements sanitaires ainsi que les opérations consécutives aux transferts de charge, intervenues exclusivement entre le 1er novembre 2000 et le 31 octobre 2001, ont été prises en compte dans l'ajustement des dotations régionales pour 2002. Les opérations de fongibilité postérieures au 1er novembre 2001 seront prises en compte ultérieurement bien entendu.
1.2. Les transferts entre sous-enveloppes préfectorale et conventionnelle consécutifs à la tarification par l'autorité compétente de l'Etat des établissements médicalisés relevant antérieurement des directeurs des caisses régionales d'assurance maladie
En application du paragraphe I de l'article 10 de la loi n° 2001-647 du 20 juillet 2001, précisant l'autorité de tarification compétente en ce qui concerne les prestations délivrées dans certains établissements sociaux et médico-sociaux, il vous a été demandé, par voie d'instruction en date du 31 octobre 2001, de nous communiquer le nom et le montants des budgets des établissements accueillant des personnes âgées dépendantes.
Dans ce cadre, ont été recensés 503 établissements et 5 SSIAD pour des budgets soins d'un montant respectif de 108, 98 millions d'euros et de 3,37 millions d'euros (cf. annexes n° II b : synthèses régionales et départementales).
A partir de ces éléments, qui ont fait l'objet d'une validation conjointe par la CNAMTS et la DHOS, vos dotations régionales d'assurance maladie ont été abondées. Les mouvements de fongibilité que vous nous avez signalé, au titre des opérations 2001, n'ont pas été retenus conformément aux dispositions de l'instruction conjointe de la DHOS et de la CNAMTS en date du 31 octobre 2001.
Pour l'année 2002, certains décalages entre les montants retenus et les montants budgétaires réels peuvent apparaître. Si cela s'avérait, il conviendrait d'en informer immédiatement la CNAMTS (helene.benard@cnamts.fr) et la DHOS (bureau F 2).
A compter du 1er janvier 2002, les établissements non habilités à l'aide sociale étant dorénavant tarifés par le préfet, il est impératif de procéder aux modifications du répertoire FINESS qui s'imposent, la codification du mode de fixation des tarifs notamment.
N.B. : en ce qui concerne les unités de soins de longue durée sous compétence tarifaire de la CRAM, l'article 10 de la loi du 20 juillet 2001 ne s'applique pas. Il conviendra cependant de modifier la situation tarifaire de ces établissements lors de la signature de la convention tripartite.
1.3. Le débasage des crédits non reconductibles attribués en 2001
Certains crédits ont été notifiés à titre non reconductible en 2001 au bénéfice de l'enveloppe médico-sociale personnes âgées Il y donc lieu de procéder à leur récupération en diminuant vos bases régionales de référence pour 2002. Sont concernés :
Les annexes n° II - a et d présentent un bilan des dotations régionalisées de dépenses médico-sociales (EHPAD et SSIAD) et sanitaires (USLD) pour 2002.
2. Les mesures de reconduction et de personnel
Ces mesures sont constituées principalement de mesures salariales.
2.1. Dans les EHPAD et les SSIAD
2.1.1. Composition du taux d'évolution
Le taux d'évolution de dépenses des établissements qui vous est notifié est, hors crédits relatifs à la réduction du temps de travail et accord SAPRESS, en moyenne de 2,10 % pour les EHPAD et en moyenne de 2 % pour les SSIAD.
Pour 2002, le taux moyen d'évolution des dépenses d'assurance maladie médico-sociales alloué au bénéfice des structures pour personnes âgées permet de financer, outre les effets reports des mesures salariales de 2001 :
L'incidence financière de ces deux dispositions a été calculée pour le secteur public et le secteur privé à but non lucratif, dans l'hypothèse d'une transposition demandée par les fédérations d'employeurs, agréée dans le cadre de l'article 16 de la loi du 30 juin 1975 modifiée. Dans cette attente, les crédits doivent être provisionnés au niveau régional :
Par ailleurs, les crédits liés à la création des emplois consécutifs à la réduction du temps de travail dans les établissements publics sont notifiés conformément aux différentes instructions qui vous ont été données (instruction ministérielle du 14 novembre 2001 et instruction de la DHOS en date du 10 avril 2002). La note de la DHOS en date du 10 janvier 2002 en a précisé les modalités d'application notamment en ce qui concerne les établissements éligibles au financement de l'assurance maladie.
2.1.2. Règles d'actualisation des moyens pour 2002
pour les établissements hébergeant des personnes âgées
A. - Pendant la période transitoire.
Tant que la convention tripartite n'est pas conclue, il n'est pas possible d'allouer des moyens nouveaux aux établissements (médicalisation des établissements, création ou développement de places d'accueil de jour ou d'hébergement temporaire), même à titre non reconductible.
Toutefois, au titre de la reconduction des moyens, l'article 5 de la loi du 20 juillet 2001 modifié par l'article 30 paragraphe 2 de la loi de financement de la sécurité sociale pour 2002 ont prévu une règle spécifique d'actualisation pour les établissements non signataires d'une convention tripartite.
Ainsi, il est prévu : « un forfait global de soins fixé par l'autorité compétente de l'Etat, égal à la somme des forfaits de soins attribués en 2001, revalorisé dans la limite d'une d'évolution arrêtée par les ministres chargés de la sécurité sociale, des personnes âgées et du budget en fonction du taux d'évolution de dépenses d'assurance maladie voté par le Parlement, et destiné à financer l'augmentation des dépenses résultant exclusivement de la mise en place de mesures générales portant sur les salaires, les statuts ou le temps de travail des personnels pris en charge par l'assurance maladie ; ces taux peuvent être modulés, le cas échéant, selon les catégories d'établissements ».
La revalorisation se décompose :
Un arrêté interministériel indiquera pour chaque catégorie d'établissement (USLD publiques, autres USLD, EHPAD publics, EHPAD privés non lucratifs) le taux applicable.
Dans l'attente de la parution de ce texte et des négociations locales relatives à la réduction du temps de travail, la procédure budgétaire pour 2002 peut se poursuivre normalement.
L'autorité compétente de l'Etat doit arrêter pour chaque établissement le montant du forfait global de soins attribués en 2001 en tenant compte des différentes évolutions tarifaires intervenues en 2001 et retracées dans les différentes circulaires budgétaires EHPAD. Ce montant est égal à la somme, le cas échéant, de chacun des différents forfaits alloués à l'établissement (FSC, SCM, USLD), chacun de ceux-ci étant obtenus en multipliant la valeur du forfait 2001 par le nombre de journées prévisionnelles retenues en début d'année 2001 pour ladite année. Il n'y a donc pas lieu de tenir compte de l'activité réelle de l'année 2001.
En cas de pluralité de budgets, les règles relatives à la fixation du forfait global de soins suivent celles qui seront retenues dans le cadre de la négociation globale.
Sur la base de cette information qui est transmise notamment aux conseils généraux, les tarifs afférents à la dépendance et à l'hébergement seront fixés le plus tôt possible dans le souci de permettre aux résidents de bénéficier de l'APA.
A ce jour, les taux d'actualisation permettant de couvrir, d'une part, l'incidence de la RTT au 1er janvier 2002 et, d'autre part, les diverses revalorisations salariales, ne sont pas encore définis. Cette situation ne doit pas être de nature à empêcher l'autorité compétente de l'Etat de déterminer le montant des forfaits 2002 (reconduction des forfaits de 2001).
Pour le 15 juin 2002, il est demandé aux DRASS de communiquer à la DHOS, bureau F 2, nadine.richard@sante.gouv.fr, le montant régional des forfaits globaux de soins reconduits en 2002 avant revalorisation des moyens, sur la base de l'annexe n° II - f.
B. - Dans le cadre de la convention tripartite.
Pour les établissements signataires d'une convention tripartite en 2001, quels que soient leurs statuts, un taux d'évolution de leur dotation globale de soins peut être alloué.
2.2. Dans les centres et unités de soins de longue durée
Au titre des mesures qui vous sont notifiées, le taux moyen d'évolution des dépenses d'assurance maladie des unités de soins de longue durée est de 2,29 %, hors RTT.
Ce taux permet de financer, outre les effets reports des mesures salariales 2001, les augmentations salariales de 0,6 % au 1er mars et 0,7 % au 1er décembre 2002, l'effet glissement - vieillesse - technicité dont le taux a été évalué à 0,63 % en, masse - comme pour les autres établissements de santé - les mesures du protocole filière du 14 mars 2001 d'un montant de 4,15 millions d'euros, la prime de service exclusif estimée à 1 million d'euros.
Par ailleurs, les crédits relatifs aux créations d'emplois consécutives à l'application de la réduction du temps de travail au 1er janvier 2002 sont notifiés conformément aux dispositions de l'instruction ministérielle en date du 14 novembre 2001 (20,58 millions d'euros).
Les dotations régionales de dépenses des unités de soins de longue durée ont été calculées sur ces bases.
Les principes d'actualisation prévus au point 2.1.2. de ce chapitre s'appliquent aux centres ou unités de soins de longue durée.
Les annexes n° II - c et e vous notifient des dotations régionalisées de dépenses médico-sociales (EHPAD et SSIAD) et sanitaires (USLD) pour 2002.
2.3. Revalorisation du forfait applicable
dans les services de soins infirmiers à domicile
En fonction du niveau de progression des crédits d'assurance maladie, hors mesures nouvelles, le forfait plafond applicable dans les SSIAD est fixé, à compter de la date de publication de l'arrêté interministériel fixant l'ONDAM à :
Le taux de progression dont il est tenu compte pour actualiser le forfait est un taux qui intègre toutes les ressources notifiées dans la présente circulaire, y compris la RTT pour les SSIAD publics. D'un point de vue micro, tous les établissements peuvent ne pas bénéficier de l'ensemble de ces mesures. En l'occurrence, il vous appartient d'apprécier l'opportunité d'allouer à un service le montant du forfait plafond.
2.4. L'extension en année pleine des mesures nouvelles allouées en 2001
Pour les places de SSIAD ayant fait l'objet d'une notification en 2001, pour 9 mois de fonctionnement, l'extension en année pleine pour 2002 (pour les trois mois restants) est prévue.
De même, l'extension en année pleine des mesures de médicalisation attribuées en 2001 aux établissements signataires d'une convention tripartite est notifiée. Son montant a été arrêté au 31 décembre 2001 conformément aux informations communiquées par les services dans les tableaux mensuels de suivi.
III. - SUIVI DES CONVENTIONS TRIPARTITES CONCLUES EN 2002
1. Répartition départementale des mesures nouvelles
au titre de la médicalisation
Afin d'éviter toute difficulté liée à la notification tardive de crédits au niveau départemental, les principes exposés dans la circulaire du 26 octobre 2001 s'appliquent.
La répartition départementale des crédits est effectuée en conférence administrative régionale (CAR) où il peut être procédé soit à une répartition départementale des crédits, soit à la définition de critères de répartition.
Toutefois, afin de ne pas retarder la signature des conventions au motif que les DDASS n'auraient pas connaissance de l'enveloppe départementale de mesures nouvelles notifiées par la CAR, il a été décidé de permettre aux DDASS d'engager des crédits immédiatement, sans attendre cette information.
La répartition départementale des crédits devra intervenir au plus tard dans le mois qui suit l'envoi de la présente circulaire, dans le respect des dispositions suivantes :
La méthode de répartition des crédits doit être suffisamment souple pour répondre à tous les besoins. La constitution d'une réserve au niveau régional est tout à fait envisageable dès lors qu'une partie des crédits a été notifiée. De même, les DRASS sont encouragées, le cas échéant, et en fonction de la situation des différents départements, à modifier la répartition initiale des mesures nouvelles décidée en conférence administrative régionale de manière à ne pas geler inutilement des crédits au profit d'un département moins engagé dans la mise en oeuvre de la réforme.
Sans attendre de connaître les montants départementaux, les DDASS engagent des crédits au titre des conventions conclues.
2. Suivi régional
Le dispositif de suivi régional de la mise en oeuvre de la réforme de la tarification et de ses effets financiers instauré par les annexes n° III de la circulaire du 26 janvier 2001 est reconduit en 2002.
Toutefois, son contenu doit être modifié :
En outre, le nombre total d'emplois crées dans le cadre des conventions tripartites conclues au cours du mois doit être renseigné.
Sur cette base, je vous demande de bien vouloir mettre à jour les annexes n° III -a, III - bb, III - c, III - d, III - e (financement des conventions tripartites conclues par les établissements anciennement tarifés par les CRAM : à supprimer), III - f.
Je vous rappelle que ces informations doivent être adressées à la DHOS (marc.bourquin@sante.gouv.fr, financement des structures de soins pour personnes âgées) par la direction régionale des affaires sanitaires et sociales qui a pour mission de valider et d'agréger les différentes données départementales.
Ces informations doivent être communiquées impérativement par messagerie (les remontées papier ne seront pas prises en compte) au 10 de chaque mois.
Les notifications de crédits supplémentaires seront effectuées compte tenu du niveau de consommation de l'enveloppe régionale et du montant des dépenses de soins de ville intégrées dans les tarifs de soins. Il est donc important que les données transmises soient fiables et correspondant à la réalité des engagements pris dans les conventions tripartites, que ce soit pour 2002 ou 2003 au titre des extensions en année pleine.
N.B. : le suivi départemental hebdomadaire mis en place en janvier dernier est supprimé.
IV. - MISE EN OEUVRE DES CONVENTIONS TRIPARTITES EN 2002
1. Entrée en vigueur des conventions tripartites
et suivi des crédits de soins de ville intégrés aux tarifs
La convention tripartite doit spécifier la date de l'entrée en vigueur des nouveaux tarifs. Dans certains cas, et notamment pour les établissements non médicalisés, il peut être opportun de prévoir un délai. En effet, le tarif de soins alloué doit permettre aux établissements de prendre en charge directement des prestations qui auparavant étaient externalisées. Pour éviter que l'assurance maladie contribue à double titre à la prise en charge de certains soins, notamment en cas de difficultés de recrutement, il peut être utile d'attendre les recrutements effectifs des personnels avant d'appliquer l'arrêté tarifaire.
De même, les clauses de rendez-vous prévues dans la convention tripartite doivent permettre de vérifier que les crédits transférés dans les tarifs au titre des dépenses de soins de ville sont correctement utilisés. En cas de difficultés, vous voudrez bien saisir la DHOS (financement des structures pour personnes âgées).
2. Sortie des médicaments des tarifs de soins
L'article 96 de la loi n° 2002 - 303 du 4 mars 2002 relative aux droits des malades exclut des tarifs partiel et global (alors qu'ils étaient inclus dans le décret n° 2001 - 388 du 4 mai 2001) les médicaments et les dispositifs dans les établissements médico-sociaux qui ne disposent pas d'une pharmacie à usage intérieur (la disposition n'est pas applicable aux unités de soins de longue durée).
Cette disposition ne s'applique pas aux conventions conclues avant le 6 mars 2002. Ainsi, l'exécution de ces conventions peut se poursuivre, jusqu'à leur terme (de 5 ans) sauf si tous les contractants décident, par voie d'avenant, d'appliquer les dispositions de l'article 94.
A contrario, cet article est d'effet immédiat pour les conventions tripartites en cours de négociation et signées à compter du 6 mars. Des instructions vont seront très prochainement en ce qui concerne notamment la situation des établissements médicalisés souhaitant conclure une convention tripartite.
*
* *
Vous voudrez bien me rendre compte, sous le timbre de la DHOS et de la Marthe, des difficultés éventuelles que vous pourriez rencontrer dans la mise en oeuvre de la présente circulaire. Un tableau récapitule les différentes remontées d'informations auxquelles les DRASS doivent procéder en cours d'année 2002.
Pour la ministre et la secrétaire d'Etat,
et par délégation :
Le directeur de la sécurité sociale,
P.-L. Bras
Le directeur de l'hospitalisation
et de l'organisation des soins,
E. Couty
Le chargé de mission,
J.-R. Brunetière
La directrice générale
de l'action sociale,
S. Léger
supprimé pour essai voir PF problème sur Supplément
LISTE DES ANNEXES
Tableau récapitulatif des remontées d'informations
I. - Mesures nouvelles pour 2002
Annexe I - A. - Bilan financier des conventions tripartites conclues en 2000 et 2001 et notification des mesures nouvelles pour l'année 2002
Annexe I - B. - Répartition et notification des mesures nouvelles SSIAD au niveau régional et programme départemental prévisionnel de financement des places de SSIAD
Annexe I - C. - Notification des places d'accueil pour 2002
Annexe I - D. - Notification des places d'hébergement temporaire pour 2002
Annexe I - E. - Répartition régionale indicative des mesures nouvelles de gériatrie
Annexe I - F. - Suivi de la création des établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes
Annexe I - G. - Informations nécessaires pour l'utilisation du logiciel ANGELE
II. - Construction des dotations régionales pour 2002
Annexe II - A. - Bilan des dotations régionales des établissements et services accueillant des personnes âgées pour 2001
Annexe II - B. - Récapitulatif des budgets de soins des établissements et services tarifiés par le préfet à compter du 1er janvier 2002 (antérieurement tarifiés par la CRAM)
Annexe II - C. - Notification des dotations régionales de dépenses médico-sociales EHPAD et SSIAD pour 2002
Annexe II - D. - Bilan des dotations régionales des soins de longue durée pour 2001
Annexe II - E. - Notification des dotations régionales de dépenses des USLD pour 2002
Annexe II - F. - Détermination du montant des forfaits globaux de soins attribués aux établissements en 2002
Annexe II - G. - Dispositions relatives au protocole filière du 14 mars 2001
Annexe II - H. - Fongibilité entre les différentes enveloppes (hors convention tripartite) : entre le sanitaire et le médico-social/la sous-enveloppe 3 et 4/autres
Tableau récapitulatif des remontées d'informations
NATURE DU DOCUMENT | PÉRIODICITE de l'information | DATE DE LA REMONTÉE d'informations | DESTINATAIRE de l'information |
---|---|---|---|
Suivi régional mensuel des conventions tripartites conclues et de leurs effets financiers (annexe III de la circulaire du 26 janvier 2001) | mensuelle | le 10 de chaque mois | DHOS/F 2/marc.bourquin@sante.gouv.fr |
Suivi hebdomadaire du nombre de conventions conclues dans les régions et départements (annexe III-a) | hebdomadaire (jusqu'au 15 avril 2002) | chaque mardi | DHOS/F 2/marc.bourquin@sante.gouv.fr |
Détermination du montant des forfaits globaux de soins attribués aux établissements en 2002 (annexe II-f) | annuelle | 15 juin 2002 | DHOS/F 2/nadine.richard@sante.gouv.fr |
Programme départemental prévisionnel de financement de places de SSIAD (annexe I-b) | annuelle | 1er septembre 2002 | DGAS/2 C/jean-paul.cessay@sante.gouv.fr |
Suivi des opérations de fongibilité effectuées en 2002 (annexe II-h) | annuelle | 1er septembre 2002 | DHOS/F 2/nadine.richard@sante.gouv.fr et DGAS/5 C/huguette.beaux@sante.gouv.fr |
Suivi relatif à la création des EHPAD (annexe I-f) | annuelle | 15 novembre 2002 | DHOS/F 2/nadine.richard@sante.gouv.fr |
ANGELE | La remontée des informations conditionne l'octroi de moyens supplémentaires | DHOS/F 2/marc.bourquin@sante.gouv.fr |
I. - MESURES NOUVELLES POUR 2002
ANNEXE I - a
Bilan financier des conventions tripartites
conclues jusqu'au 31 décembre 2001
Montant des crédits disponibles pour la conclusion
des conventions tripartites en 2002
Modalités de répartition des mesures nouvelles EHPAD 2002 au niveau régional
Bilan financier des conventions tripartites conclues en 2000 et en 2001
Montant des crédits disponibles pour la conclusion des conventions tripartites en 2002
(Voir tableau pages suivantes.)
Bilan financier des conventions tripartites conclues en 2000 et en 2001 (en francs)
NOTIFICATION EN FRANCS des mesures nouvelles de médicalisation au titre de l'année | MONTANT en francs des crédits de médicalisation allouées aux régions | MONTANTS EN FRANCS des crédits engagés au titre des conventions tripartites conclues en 2000 et 2001 | MONTANT total des crédits consommés à titre reconductible ou non | % D'UTILISATION en année pleine de l'enveloppe notifiée | MONTANT en francs des dépenses en année pleine des soins de ville intégrées dans les tarifs | MONTANT des crédits disponibles au 31 décembre 2001 (hors EAP) | |||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
RÉGIONS | 2000 (circulaire du 15/09/2000 et 26/01/2001) | 2001 | Au titre de l'année 2001 | Au titre de l'extension en année pleine pour 2002 | |||||
Alsace | 21 830 089 | 21 830 089 | 2 021 338 | 2 503 434 | 4 524 772 | 20,73 % | 2 753 975 | 19 808 751 | |
Aquitaine | 18 250 000 | 48 229 126 | 66 479 126 | 44 620 963 | 21 351 991 | 65 972 954 | 99,24 % | 27 758 036 | 21 858 163 |
Auvergne | 21 982 026 | 21 982 026 | 5 495 372 | 4 916 017 | 10 411 389 | 47,36 % | 16 486 654 | ||
Bourgogne | 7 700 000 | 29 181 891 | 36 881 891 | 2 931 964 | 14 122 380 | 17 054 344 | 46,24 % | 9 488 394 | 33 949 927 |
Bretagne | 9 600 000 | 57 559 489 | 67 159 489 | 17 891 391 | 21 605 899 | 39 497 290 | 58,81 % | 21 682 150 | 49 268 098 |
Centre | 1 300 000 | 38 694 078 | 39 994 078 | 2 631 739 | 19 552 117 | 22 183 856 | 55,47 % | 6 140 676 | 37 362 339 |
Champagne | 18 049 125 | 18 049 125 | 0 | 12 129 541 | 12 129 541 | 67,20 % | 18 049 125 | ||
Corse | 750 000 | 1 297 632 | 2 047 632 | 733 884 | 0 | 733 884 | 35,84 % | 733 884 | 1 313 748 |
Franche-Comté | 2 500 000 | 12 043 304 | 14 543 304 | 7 776 724 | 8 896 555 | 16 673 279 | 114,65 % | 8 896 555 | 6 766 580 |
Ile-de-France | 26 764 000 | 112 772 186 | 139 536 186 | 83 982 896 | 20 804 982 | 104 787 878 | 75,10 % | 21 520 374 | 55 553 290 |
Languedoc | 2 760 000 | 28 026 006 | 30 786 006 | 0 | 39 502 078 | 39 502 078 | 128,31 % | 13 794 626 | 30 786 006 |
Limousin | 10 884 365 | 10 884 365 | 6 144 822 | 4 952 666 | 11 097 487 | 101,96 % | 2 193 198 | 4 739 543 | |
Lorraine | 2 400 000 | 31 980 776 | 34 380 776 | 0 | 3 765 849 | 3 765 849 | 10,95 % | 1 164 652 | 34 380 776 |
Midi-Pyrénées | 19 200 000 | 40 081 403 | 59 281 403 | 8 830 336 | 41 175 116 | 50 005 452 | 84,35 % | 52 188 344 | 50 451 067 |
Nord- Pas-de-Calais | 20 000 000 | 71 788 762 | 91 788 762 | 3 120 971 | 12 483 892 | 15 604 863 | 17,00 % | 6 452 080 | 88 667 791 |
Basse- Normandie | 9 920 000 | 25 974 795 | 35 894 795 | 913 709 | 21 987 744 | 22 901 453 | 63,80 % | 10 391 720 | 34 981 086 |
Haute- Normandie | 31 782 611 | 31 782 611 | 0 | 0 | 0 | 0,00 % | 31 782 611 | ||
Pays de la Loire | 2 600 000 | 62 207 268 | 64 807 268 | 3 891 924 | 11 718 652 | 15 610 576 | 24,09 % | 9 273 937 | 60 915 344 |
Picardie | 22 850 200 | 22 850 200 | 2 736 574 | 18 170 901 | 20 907 475 | 91,50 % | 14 905 274 | 20 113 626 | |
Poitou-Charentes | 9 400 000 | 31 264 696 | 40 664 696 | 0 | 33 821 333 | 33 821 333 | 83,17 % | 21 552 504 | 40 664 696 |
PACA | 18 000 000 | 59 992 894 | 77 992 894 | 3 808 978 | 43 412 854 | 47 221 833 | 60,55 % | 20 727 148 | 74 183 916 |
Rhône-Alpes | 16 000 000 | 76 278 897 | 92 278 897 | 27 217 611 | 31 211 247 | 58 428 858 | 63,32 % | 39 229 904 | 65 061 286 |
France métropolitaine | 167 144 000 | 854 751 619 | 1 021 895 619 | 224 751 196 | 388 085 248 | 612 836 443 | 59,97 % | 290 847 431 | 797 144 423 |
Guadeloupe | 570 984 | 570 984 | 0 | 0 | 0,00 % | 570 984 | |||
Martinique | 3 565 299 | 3 565 299 | 661 834 | 1 985 510 | 2 647 344 | 74,25 % | 2 903 465 | ||
Guyane | 132 408 | 132 408 | 0 | 0 | 0,00 % | 132 408 | |||
Réunion | 2 300 000 | 979 690 | 3 279 690 | 0 | 0 | 0,00 % | 3 279 690 | ||
Dom | 2 300 000 | 5 248 381 | 7 548 381 | 661 834 | 1 985 510 | 2 647 344 | 35,07 % | 0 | 6 886 547 |
France entière | 169 444 000 | 860 000 000 | 1 029 444 000 | 225 413 030 | 390 070 757 | 615 483 787 | 59,79 % | 290 847 431 | 804 030 970 |
Modalités de répartition des mesures nouvelles
EHPAD 2002 au niveau régional
1. En plus des crédits notifiés en 2000 et 2001 et non encore intégralement utilisés au 31 décembre 2001 (il restait à cette date plus de 122 MEUR (804 MF), cf. annexe I - a), il a été décidé de procéder à une première notification de crédits d'un montant de 60,98 MEUR.
En l'absence d'informations exhaustives relatives aux effets financiers de la réforme de la tarification dans tous les établissements médicalisés ou non, il a été décidé de répartir cette somme sur la base de deux critères.
En effet, l'enveloppe de crédits notifiés en 2000 et 2001 a été consommée en moyenne à hauteur de 60 % selon les indications régionales, sachant qu'il existe une grande dispersion des niveaux de consommation régionaux (de 0 à plus de 1000 % si on tient compte des extensions en année pleine 2002). Dès lors, la répartition des premières mesures de médicalisation 2002 doit tenir compte de ces disparités de manière à favoriser les régions dynamiques qui ont conclu un nombre significatif de conventions.
L'enveloppe de 60,98 MEUR est donc répartie en deux sous-enveloppes :
Il est rappelé que la deuxième notification de crédits s'effectuera sur la base de l'estimation des besoins des services tels qu'ils ressortent des données du logiciel ANGELE.
2. Par ailleurs, les régions qui ont signé des conventions tripartites ont utilisé les crédits de médicalisation pour permettre le financement, à travers la fixation des tarifs, de tout ou partie des dépenses de soins de ville. Dans ces conditions, et conformément aux dispositions annoncées dans la circulaire du 26 janvier 2001, il a été prévu de tenir compte de cette « avance ».
Un montant de crédit de 44,33 MEUR (290 MF) est en conséquence notifié, dès à présent, et en année pleine. Le montant régional correspond aux montants des dépenses de soins de ville intégrées dans les tarifs tels que déclarés par la DDASS et communiqués à la DHOS.
N.B. : Les extensions en année pleine des conventions tripartites conclues en 2001 sont notifiées conformément aux indications fournies par les DRASS dans les remontées mensuelles. Leurs montants figurent à l'annexe 2 - c relative à la notification des dotations régionales de crédits d'assurance maladie pour 2002.
Notification des mesures nouvelles EHPAD en 2002
RÉGIONS | 1er CRITÈRE DE RÉPARTITION tenant compte de la consommation des régions (pour 60 % de l'enveloppe) | 2e CRITÈRE DE RÉPARTITION tenant compte du nombre de places à médicaliser (pour 40 % de l'enveloppe) | TOTAL (en euros) | MONTANT DES DÉPENSES en année pleine des soins de ville intégrées dans les tarifs (en euros) (2) | MONTANT TOTAL des premières mesures nouvelles 2002 notifiées/en euros |
---|---|---|---|---|---|
Alsace | 472 809 | 360 440 | 833 249 | 419 841 | 1 253 090 |
Aquitaine | 3 294 875 | 823 024 | 4 117 899 | 4 231 685 | 8 349 584 |
Auvergne | 684 198 | 315 783 | 999 981 | 0 | 999 981 |
Bourgogne | 1 133 244 | 484 766 | 1 618 010 | 1 446 496 | 3 064 507 |
Bretagne | 2 363 619 | 882 881 | 3 246 500 | 3 305 422 | 6 551 923 |
Centre | 1 360 033 | 610 943 | 1 970 976 | 936 140 | 2 907 116 |
Champagne-Ardennes | 689 055 | 295 322 | 984 377 | 0 | 984 377 |
Corse | 55 348 | 19 974 | 75 322 | 111 880 | 187 202 |
Franche-Comté | 800 441 | 188 307 | 988 748 | 1 356 271 | 2 345 019 |
Ile-de-France | 5 718 529 | 1 945 592 | 7 664 121 | 3 280 760 | 10 944 881 |
Languedoc | 1 843 944 | 439 752 | 2 283 696 | 2 102 977 | 4 386 674 |
Limousin | 549 977 | 160 831 | 710 808 | 334 351 | 1 045 159 |
Lorraine | 625 209 | 541 765 | 1 166 974 | 177 550 | 1 344 524 |
Midi-Pyrénées | 2 624 500 | 658 718 | 3 283 218 | 7 956 062 | 11 239 280 |
Nord - Pas-de-Calais (1) | 1 866 450 | 9 733 560 | 11 600 010 | 983 613 | 12 583 623 |
Basse-Normandie | 1 326 951 | 461 869 | 1 788 820 | 1 584 208 | 3 373 027 |
Haute-Normandie | 454 233 | 567 325 | 1 021 558 | 0 | 1 021 558 |
Pays de la Loire | 1 481 037 | 1 073 754 | 2 554 791 | 1 413 803 | 3 968 594 |
Picardie | 1 069 651 | 401 720 | 1 471 371 | 2 272 294 | 3 743 665 |
Poitou-Charentes | 1 783 228 | 554 334 | 2 337 562 | 3 285 658 | 5 623 220 |
PACA | 2 792 989 | 1 061 217 | 3 854 206 | 3 159 833 | 7 014 039 |
Rhône-Alpes | 3 395 475 | 1 246 277 | 4 641 752 | 5 980 560 | 10 622 312 |
France métropolitaine | 36 385 794 | 22 828 154 | 59 213 948 | 44 339 405 | 103 553 353 |
Guadeloupe | 8 160 | 7 397 | 15 557 | 0 | 15 557 |
Martinique | 145 045 | 1 543 965 | 1 689 010 | 0 | 1 689 010 |
Guyane | 1 892 | 1 709 | 3 601 | 0 | 3 601 |
Réunion | 46 873 | 10 620 | 57 493 | 0 | 57 493 |
DOM | 201 970 | 1 563 691 | 1 765 661 | 0 | 1 765 661 |
France entière | 36 587 764 | 24 391 845 | 60 979 609 | 44 339 405 | 105 319 014 |
(1) Conformément à la lettre de la DHOS en date du 6 décembre 2001 relative à la situation du Pas-de-Calais. (2) Montant en année pleine conformément aux données des DRASS. NB : les EAP sont notifiées dans le cadre de la reconduction des moyens des EHPAD. |
ANNEXE I - B
Répartition et notification des mesures nouvelles SSIAD
au niveau régional
Programme départemental prévisionnel de financement des places de SSIAD
Modalité de répartition des places nouvelles de SSIAD pour 2002.
Notification des places de SSIAD pour 2002.
Programme départemental de financement des places de SSIAD pour 2002.
Modalités de répartition des places nouvelles
de services de soins infirmiers à domicile pour 2002
En 2001, le Gouvernement a lancé un plan de médicalisation portant création de 20 000 places de services de soins infirmiers à domicile sur 5 ans afin de permettre de corriger les inégalités régionales en matière d'équipement.
Pour 2001, une première étape de convergence vers un taux d'équipement moyen à la fois égal pour toutes les régions et supérieur au taux initial a été mise en oeuvre pour effectuer la répartition des places nouvelles.
Pour 2002, la méthode de répartition est reconduite ; majoritairement (à 60 %), les places nouvelles ont été ventilées selon le taux d'équipement (nombre de places installées dans une région rapporté à sa population de 75 ans et plus).
Les 40 % de places restantes sont réparties en fonction de l'importance de la population âgée de 75 ans et plus.
1. Correction des inégalités
Le taux d'équipement national cible, qui sera atteint en 2005 au terme du plan de médicalisation, est de 18,48 ; il a été calculé en rapportant le nombre total de places installées comprenant les mesures nouvelles pluriannuelles à la population nationale âgée de 75 ans et plus.
Sur cette base, une dotation régionale cible a été déterminée (application du taux d'équipement national cible sur la population régionale âgée de 75 ans et plus).
Pour établir le nombre de places nouvelles auxquelles chaque région peut prétendre, cette dotation cible a été comparée aux nombres de places installées par région (dotation régionale cible en 2005 diminuée du nombre de places installées au 31 décembre 2001 et divisée par 4 ans).
Une quotité de 60 % de cette dotation annuelle théorique a été attribuée à chacune des régions. Certaines régions, pour lesquelles les taux d'équipement sont très supérieurs au taux d'équipement cible, n'ont pas bénéficié de cette première répartition.
Pour tenir compte cependant des besoins objectifs des personnes âgées en matière de services de soins infirmiers à domicile, un second critère a été utilisé.
2. Prise en compte de l'effectif régional
de la population âgée de 75 ans et plus
Cette clé de répartition a été utilisée dans toutes les régions. Les places nouvelles non attribuées selon le premier critère (40 % d'entre elles) ont été réparties au prorata de la part de la population régionale âgée de 75 ans et plus dans la population nationale correspondante.
Ainsi, après installation de ces nouvelles places, l'écart en matière d'équipement aura été réduit tout en augmentant le taux d'équipement national : de 14,95 % en 2001, il passe à 15,70 % en 2002.
(Voir tableau pages suivantes.)
Notification de places de SSIAD pour 2002
RÉGIONS | SITUATION AU 31/12/2001 | RÉPARTITION DES PLACES NOUVELLES 2002 | ||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Population de 75 ans et plus | PLACES installées au 31/12/2001 | TAUX d'équipement au 31/12/2001 | AU TITRE de la réduction des inégalités (60 % des places) | EN FONCTION de l'importance de la population âgée de plus de 75 ans (40 % des places) | NOMBRE TOTAL de places notifiées | TAUX d'équipement au 31/12/2002 | MONTANTS en euro (*) | |
Alsace | 107 266 | 1 559 | 14,53 | 54 | 31 | 85 | 15,33 | 631 766 |
Aquitaine | 275 145 | 3 941 | 14,32 | 146 | 80 | 226 | 15,15 | 1 679 924 |
Auvergne | 124 524 | 1 891 | 15,19 | 52 | 36 | 88 | 15,89 | 653 304 |
Bourgogne | 150 292 | 2 402 | 15,98 | 47 | 44 | 91 | 16,59 | 674 841 |
Bretagne | 247 617 | 4 380 | 17,69 | 23 | 72 | 95 | 18,07 | 703 558 |
Centre | 214 931 | 3 132 | 14,57 | 107 | 63 | 170 | 15,36 | 1 263 533 |
Champagne- Ardenne | 99 784 | 1 661 | 16,65 | 23 | 29 | 52 | 17,17 | 387 675 |
Corse | 23 489 | 231 | 9,83 | 26 | 7 | 33 | 11,24 | 244 092 |
Franche-Comté | 83 372 | 1 423 | 17,07 | 15 | 24 | 39 | 17,53 | 287 167 |
Ile-de-France | 635 992 | 8 534 | 13,42 | 412 | 185 | 597 | 14,36 | 4 429 543 |
Languedoc- Roussillon | 218 004 | 2 794 | 12,82 | 159 | 63 | 222 | 13,83 | 1 644 028 |
Limousin | 83 678 | 1 668 | 19,93 | 0 | 24 | 24 | 20,22 | 179 479 |
Lorraine | 157 001 | 2 442 | 15,55 | 58 | 45 | 104 | 16,21 | 768 170 |
Midi-Pyrénées | 244 178 | 3 990 | 16,34 | 66 | 71 | 136 | 16,90 | 1 012 262 |
Nord/ Pas-de-Calais | 250 766 | 4 551 | 18,15 | 9 | 73 | 81 | 18,47 | 603 050 |
Basse- Normandie | 115 409 | 1 673 | 14,50 | 59 | 34 | 93 | 15,30 | 689 200 |
Haute- Normandie | 122 304 | 1 566 | 12,80 | 89 | 36 | 125 | 13,82 | 926 112 |
Pays de Loire | 254 351 | 3 722 | 14,63 | 125 | 74 | 198 | 15,41 | 1 471 728 |
Picardie | 122 104 | 2 319 | 18,99 | 0 | 36 | 36 | 19,29 | 265 629 |
Poitou- Charentes | 161 633 | 2 233 | 13,82 | 97 | 47 | 144 | 14,71 | 1 069 695 |
Provence - Alpes- Côte-d'Azur | 412 332 | 5 274 | 12,79 | 301 | 120 | 421 | 13,81 | 3 122 936 |
Rhône-Alpes | 400 739 | 5 832 | 14,55 | 201 | 116 | 317 | 15,35 | 2 354 765 |
France métropolitaine | 4 504 911 | 67 218 | 14,92 | 2 070 | 1 308 | 3 379 | 15,67 | 25 062 457 |
Martinique | 19 300 | 218 | 11,30 | 17 | 6 | 23 | 12,50 | 172 300 |
Guyane | 2 300 | 91 | 39,57 | 0 | 1 | 1 | 39,99 | 7 179 |
Guadeloupe | 18 000 | 431 | 23,94 | 0 | 5 | 5 | 24,21 | 35 896 |
Réunion | 19 300 | 255 | 13,21 | 13 | 6 | 18 | 17,70 | 351 779 |
DOM | 58 900 | 995 | 16,89 | 30 | 17 | 47 | 17,70 | 351 779 |
France entière | 4 563 811 | 68 213 | 14,95 | 2 100 | 1 326 | 3 426 | 15,70 | 25 414 236 |
(*) Financement sur 9 mois incluant la revalorisation du forfait SSIAD de 2,02 %. |
Programme départemental prévisionnel de financement de places de SSIAD
Région :
Département :
Nom et coordonnées du correspondant départemental :
Ce tableau doit être adressé au plus tard le 1er septembre 2002 à la DGAS (sous-direction des âges de la vie, bureau 2C).
Opérations dont le financement est intervenu ou interviendra en 2002 | |||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|
Services | Date d'autorisation des places | Places restant à financer | Capacité totale autorisée du SSIAD | ||||
Places financées sur : | Enveloppe | Redéploiement | |||||
Déconcentrée | Nationale | Du médico-socialDu sanitaire A mentionner dans le cadre des opérations restant à financer Total : |
ANNEXE I - C
Notification des places d'accueil de jour pour 2002
Mise en oeuvre du programme en faveur des personnes souffrant de la maladie d'Alzheimer ou de maladies apparentées.
Notification des places d'accueil de jour pour 2002.
Mise en oeuvre du programme annoncé le 11 octobre 2001 en faveur des personnes souffrant de la maladie d'Alzheimer ou de maladies apparentées : création de places d'accueil de jour
En 1996, on dénombre 3 160 places d'accueil de jour recouvrant des modes d'accueil très divers par l'organisation, la qualification des professionnels, le statut juridique... Leur coût souvent élevé ainsi que les difficultés d'accès liées à leur éloignement constituent fréquemment un obstacle pour les familles.
Ce type d'accueil constitue une aide très importante pour les familles dont le parent vit à domicile (aide nécessaire 24 heures sur 24 et 365 jours par an). L'investissement de l'entourage tant physique que psychologique est tel qu'il met en péril la santé physique et mentale de l'aidant familial.
L'accueil de jour consiste à recevoir pour une ou plusieurs journées par semaine, au sein d'établissements ou d'unités autonomes, des personnes présentant une détérioration intellectuelle, vivant à domicile. Les objectifs sont notamment de :
A terme, il s'agit de développer 7 000 places d'accueil de jour sur 4 ans, répondant à un cahier des charges précis - qui sera élaboré au niveau national - notamment sur la nécessaire qualification des professionnels intervenant au sein de ces structures, tant pour les soins que les aides et accompagnements. Les accueils de jour existants devront être progressivement conformes à ce cahier des charges.
La loi n° 2002-2 du 2 janvier 2002 rénovant l'action sociale et médico-sociale a été publiée au Journal officiel du 3 janvier 2002. En application de l'article L. 312-1 du code de l'action sociale et des familles, les accueils de jour ainsi que les hébergements temporaires sont des structures sociales ou médico-sociales.
En conséquence, les dispositions du décret n° 95-185 du 14 février 1995 relatif à la procédure de création, de transformation et d'extension des établissements et des services sociaux et médico-sociaux leur sont, en l'état actuel de la réglementation, opposables.
Ainsi, tous les projets de création ex nihilo ou d'extension importante (soit plus de 30 % de la capacité d'accueil et en tout état de cause toute augmentation de plus de quinze lits ou places) devront être soumis à l'avis de la section sociale des comités régionaux de l'organisation sanitaire et sociale (CROSS) conformément au décret précité.
(Voir tableau pages suivantes.)
Notification des places d'accueil de jour pour l'année 2002
RÉGION | TOTAL population* | PERSONNES atteintes de démence* | NOMBRE DE PLACE d'accueil de jour à répartir | NOTIFICATION des crédits en euros |
---|---|---|---|---|
Alsace | 1 733 732 | 15 800 | 50 | 345 956 |
Aquitaine | 2 908 953 | 39 919 | 85 | 580 464 |
Auvergne | 1 308 656 | 18 027 | 38 | 261 135 |
Bourgogne | 1 610 407 | 22 109 | 47 | 321 347 |
Bretagne | 2 907 178 | 35 214 | 85 | 580 110 |
Centre | 2 439 962 | 31 608 | 71 | 486 880 |
Champagne-Ardenne | 1 342 202 | 14 627 | 39 | 267 828 |
Corse | 260 149 | 3 383 | 8 | 51 911 |
Franche-Comté | 1 117 257 | 12 143 | 41 | 281 377 |
Ile-de-France | 10 951 136 | 94 984 | 310 | 2 127 486 |
Languedoc-Roussillon | 2 296 357 | 31 117 | 67 | 458 224 |
Limousin | 710 792 | 12 204 | 21 | 141 834 |
Lorraine | 2 310 023 | 22 898 | 67 | 460 951 |
Midi-Pyrénées | 2 552 696 | 35 359 | 74 | 509 375 |
Nord - Pas-de-Calais | 3 995 871 | 35 836 | 116 | 797 352 |
Basse-Normandie | 1 422 436 | 16 627 | 41 | 283 839 |
Haute-Normandie | 1 780 439 | 17 867 | 52 | 355 276 |
Pays de Loire | 3 222 784 | 37 106 | 94 | 643 087 |
Picardie | 1 857 105 | 17 706 | 54 | 370 574 |
Poitou-Charentes | 1 640 453 | 23 543 | 48 | 327 343 |
Provence-Alpes-Côte d'Azur | 4 506 253 | 59 313 | 131 | 899 196 |
Rhône-Alpes | 5 645 847 | 58 689 | 163 | 1 118 646 |
France métropolitaine | 58 520 688 | 656 079 | 1 702 | 11 677 456 |
Guadeloupe | 422 222 | 2 818 | 12 | 84 252 |
Martinique | 381 325 | 3 063 | 11 | 76 091 |
Guyane | 156 790 | 373 | 5 | 31 287 |
Réunion | 706 180 | 2 789 | 21 | 140 914 |
DOM | 1 666 517 | 9 043 | 48 | 332 544 |
France entière | 60 187 205 | 665 122 | 1 750 | 12 010 000 |
* Source : INSEE et étude coopérative européenne. |
ANNEXE I - D
Notification des places d'hébergement temporaire pour 2002
Mise en oeuvre du programme en faveur des personnes souffrant de la maladie d'Alzheimer ou de maladie apparentées.
Notification des places d'hébergement temporaire pour 2002.
Mise en oeuvre du programme annoncé le 11 octobre 2001 en faveur des personnes souffrant de la maladie d'Alzheimer ou de maladies apparentées : le développement des places en hébergement temporaire
La majorité des personnes atteintes de détérioration intellectuelle, voire de démence, vivent à domicile grâce au soutien quotidien de leur famille. Afin d'éviter des situations de rupture, parfois irréversibles, différentes solutions de relais sont possibles, notamment l'hébergement temporaire.
L'hébergement temporaire est une formule d'accueil limitée dans le temps. Il s'adresse aux personnes âgées dont le maintien à domicile est momentanément compromis du fait d'une situation de crise : isolement, absence des aidants, départ en vacances de la famille, travaux dans le logement. Il peut également s'utiliser comme une période d'apprentissage, premier essai de vie en collectivité avant l'entrée définitive en établissement, ou servir de transition avant le retour à domicile après une hospitalisation.
Le recours à un hébergement temporaire permet donc de :
Le développement de places supplémentaires demeure par conséquent une priorité qui s'inscrit dans une logique de maintien à domicile de la personne âgée. Au terme d'une période de quatre ans, 3 000 places supplémentaires seront créées à raison de 750 places par an.
La loi n° 2002-2 du 2 janvier 2002 rénovant l'action sociale et médico-sociale a été publiée au Journal officiel du 3 janvier 2002. En application de l'article L. 312-1 du code de l'action sociale et des familles, les accueils de jour ainsi que les hébergements temporaires sont des structures sociales ou médico-sociales.
En conséquence, les dispositions du décret n° 95-185 du 14 février 1995 relatif à la procédure de création, de transformation et d'extension des établissements et des services sociaux et médico-sociaux leur sont, en l'état actuel de la réglementation, opposables.
Ainsi, tous les projets de création ex nihilo ou d'extension importante (soit plus de 30 % de la capacité d'accueil et en tout état de cause toute augmentation de plus de quinze lits ou places) devront être soumis à l'avis de la section sociale des comités régionaux de l'organisation sanitaire et sociale (CROSS) conformément au décret précité.
(Voir tableau pages suivantes.)
Notification des places d'hébergement temporaire pour l'année 2002
RÉGION | TOTAL population* | PERSONNES atteintes de démence* | NOMBRE DE PLACE d'hébergement temporaire à répartir | NOTIFICATION des crédits en euros |
---|---|---|---|---|
Alsace | 1 733 732 | 15 800 | 22 | 217 483 |
Aquitaine | 2 908 953 | 39 919 | 36 | 364 905 |
Auvergne | 1 308 656 | 18 027 | 16 | 164 160 |
Bourgogne | 1 610 407 | 22 109 | 20 | 202 013 |
Bretagne | 2 907 178 | 35 214 | 36 | 364 682 |
Centre | 2 439 962 | 31 608 | 30 | 306 074 |
Champagne-Ardenne | 1 342 202 | 14 627 | 17 | 168 368 |
Corse | 260 149 | 3 383 | 3 | 32 634 |
Franche-Comté | 1 117 257 | 12 143 | 14 | 140 151 |
Ile-de-France | 10 951 136 | 94 984 | 136 | 1 373 732 |
Languedoc-Roussillon | 2 296 357 | 31 117 | 29 | 288 059 |
Limousin | 710 792 | 12 204 | 9 | 89 163 |
Lorraine | 2 310 023 | 22 898 | 29 | 289 774 |
Midi-Pyrénées | 2 552 696 | 35 359 | 32 | 320 215 |
Nord - Pas-de-Calais | 3 995 871 | 35 836 | 50 | 501 250 |
Basse-Normandie | 1 422 436 | 16 627 | 18 | 178 433 |
Haute-Normandie | 1 780 439 | 17 867 | 22 | 223 342 |
Pays de Loire | 3 222 784 | 37 106 | 40 | 404 272 |
Picardie | 1 857 105 | 17 706 | 23 | 232 959 |
Poitou-Charentes | 1 640 453 | 23 543 | 20 | 205 782 |
Provence-Alpes-Côte d'Azur | 4 506 253 | 59 313 | 56 | 565 273 |
Rhône-Alpes | 5 645 847 | 58 689 | 70 | 708 226 |
France métropolitaine | 58 520 688 | 656 079 | 729 | 7 340 949 |
Guadeloupe | 422 222 | 2 818 | 5 | 52 964 |
Martinique | 381 325 | 3 063 | 5 | 47 834 |
Guyane | 156 790 | 373 | 2 | 19 668 |
Réunion | 706 180 | 2 789 | 9 | 88 585 |
DOM | 1 666 517 | 9 043 | 21 | 209 051 |
France entière | 60 187 205 | 665 122 | 750 | 7 550 000 |
* Source : INSEE et étude coopérative européenne. |
ANNEXE I - D
Répartition des mesures nouvelles de gériatrie
(cf. 2e circulaire budgétaire relative aux établissements de santé financés sous dotation globale)
RÉGIONS | POPULATION de + de 75 ans (INSEE) | RÉPARTITION BUDGÉTAIRE 2002 | ||
---|---|---|---|---|
SEUIL minima | RÉPARTITION du montant restant en fonction de la population régionale de + de 75 ans | MONTANT en milliers d'euros | ||
Alsace | 107 266 | 238 | 46 | 284 |
Aquitaine | 275 145 | 238 | 118 | 356 |
Auvergne | 124 524 | 238 | 54 | 292 |
Basse-Normandie | 115 409 | 238 | 50 | 287 |
Bourgogne | 150 292 | 238 | 65 | 303 |
Bretagne | 247 617 | 238 | 107 | 345 |
Centre | 214 931 | 238 | 92 | 330 |
Champagne-Ardennes | 99 784 | 238 | 43 | 281 |
Corse | 23 489 | 238 | 10 | 248 |
Franche-Comté | 83 372 | 238 | 36 | 274 |
Haute-Normandie | 122 304 | 238 | 53 | 290 |
Ile-de-France | 635 992 | 238 | 274 | 511 |
Languedoc-Roussillon | 218 004 | 238 | 94 | 332 |
Limousin | 83 678 | 238 | 36 | 274 |
Lorraine | 157 001 | 238 | 68 | 306 |
Midi-Pyrénées | 244 178 | 238 | 105 | 343 |
Nord - Pas-de-Calais | 250 766 | 238 | 108 | 346 |
PACA | 412 332 | 238 | 177 | 415 |
Pays de Loire | 254 351 | 238 | 109 | 347 |
Picardie | 122 104 | 238 | 53 | 291 |
Poitou-Charentes | 161 633 | 238 | 70 | 308 |
Rhône-Alpes | 400 739 | 238 | 172 | 410 |
Réunion | 19 604 | 364 | 8 | 373 |
Martinique | 21 083 | 333 | 9 | 342 |
Guadeloupe | 19 663 | 333 | 8 | 342 |
Total | 4 565 261 | 6 266 | 1 964 | 8 230 |
ANNEXE I - f
Suivi de la création des établissements d'hébergement
pour personnes âgées dépendantes
Suivi des créations d'établissements hébergeant des personnes âgées en 2002.
Suivi des projets de création d'établissement en 2003.
ANNEXE I - f
Suivi des créations d'établissements hébergeant des personnes âgées dépendantes en 2002
Région :
Personne chargée du dossier :
Coordonnées :
Fiche à adresser à la DHOS (bureau F2, financement des structures pour personnes âgées) pour le 15 novembre 2002
NUMERO FINESS | RAISON sociale et adresse | DATE d'ouverture (1) | CAPACITE | Si une organisation en unité spécifique est mise en place, indiquer le nombre de | MONTANT du budget de soins (en euros) (2) | |||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Totale | Dont hébergement temporaire | Dont accueil de jour | Dont place Alzheimer | |||||
(1) Indiquer la date prévisionnelle le cas échéant. (2) En année pleine (12 mois). |
Suivi des projets de création d'établissements en 2003
Région :
Personne chargée du dossier :
Coordonnées :
Fiche à adresser à la DHOS (bureau F2, financement des structures pour personnes âgées) pour le 15 novembre 2002
NUMÉRO FINESS | RAISON sociale et adresse | DATE d'ouverture (1) | CAPACITÉ | Si une organisation en unité spécifique est mise en place, indiquer le nombre de | MONTANT du budget de soins (en euros) (2) | |||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Totale | Dont hébergement temporaire | Dont accueil de jour | Dont place Alzheimer | |||||
(1) Indiquer la date prévisionnelle le cas échéant. (2) En année pleine (12 mois). |
ANNEXE I - G
Informations nécessaires pour l'utilisation du logiciel ANGELE
(extrait de la synthèse des journées de formation
au logiciel ANGELE, septembre 2001)
Pour utiliser le logiciel ANGELE départemental en vue de simuler l'application de la réforme de la tarification dans tous les établissements potentiellement signataires d'une convention tripartite, les DDASS doivent disposer de quelques informations, qui ont un caractère obligatoire :
Il faut commencer par renseigner les paramètres de l'exercice budgétaire :
Exercice budgétaire "20
Tarifs de référence pour calculer la DO.MINI.C
Tarif partiel : "5,5 (valeur 2002 en euros)
Tarif global : "6,1 (valeur 2002 en euros)
Enveloppes, base de référence d'entrée (hors MN EHPAD) : "....
Enveloppe MN EHPAD : "....
La base de référence d'entrée correspond à votre dotation départementale, augmentée des différentes mesures prises en cours d'année (revalorisations des forfaits soins...).
L'enveloppe MN EHPAD correspond au montant des mesures nouvelles issues de la circulaire du 26 janvier 2001 et déléguées par votre région ; ce montant pourra éventuellement être majoré d'une autre délégation de mesures nouvelles avant la fin de l'année.
N° FINESS : "....
Strate : "....
Capacité
Total places installées attachées au budget : "....
Hébergement de jour seul : "....
Hébergement de nuit seul : "....
Hébergement complet : "....
La saisie d'un établissement débute par la validation d'informations issues de l'extraction FINANGELE (strate de l'établissement, capacité).
Répartion des GIR
Nombre de résidents en GIR1 : "....
Nombre de résidents en GIR2 : "....
Nombre de résidents en GIR3 : "....
Nombre de résidents en GIR4 : "....
Nombre de résidents en GIR5 : "....
Nombre de résidents en GIR6 : "....
Nombre de résidents de moins de 60 ans : "....
Il faut veiller à ne pas girer les résidents de moins de soixante ans afin d'éviter de les comptabiliser deux fois.
Prise en compte des pathologies lourdes
Nombre de points de pathologie courante ".... (cf. instructions relatives aux nouvelles règles de calcul de la DO.MINI.C compte tenu de l'article 96 de la loi n° 2002-303 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé)
Seule la section tarifaire soins doit impérativement être renseignée.
Les sections hébergement et dépendance ne peuvent l'être que si les informations vous sont parvenues du conseil général.
Produit de la tarification :
Budget approuvé 2000 : "....
Budget en cours d'approbation 2001 ancienne tarification : "....
Budget 2001 nouvelle tarification sans mesures nouvelles : "....
Choix du type de tarif "partiel ou global
La DO.MINI.C se calcule alors automatiquement.
Par conséquent, il n'est pas utile, à ce stade, de demander d'autres données aux établissements.
supprimé pour essai voir PF problème sur Supplément
II. - CONSTRUCTION DES DOTATIONS RÉGIONALES POUR 2002
ANNEXE II - a
Bilan des dotations régionales des établissements et services
accueillant des personnes âgées pour 2001
Bilan des notifications régionales des mesures nouvelles de médicalisation des EHPAD pour 2001.
Bilan des notifications régionales des places de SSIAD 2001.
Consolidation des dotations régionales 2001 des EHPAD et des SSIAD avant mesures nouvelles et transferts.
Consolidation des dotations régionales 2001 des établissements et services pour personnes âgées avant prise en compte des transferts.
Consolidation des dotations régionales 2001 des établissements et services pour personnes âgées après prise en compte de l'ensemble des dispositions.
(Voir tableaux pages suivantes.)
Bilan des notifications régionales des mesures nouvelles de médicalisation EHPAD pour 2001
RÉGIONS | NOTIFICATION du 26 janvier 2001 | NOTIFICATIONS spécifiques | NOTIFICATION du solde des mesures nouvelles | TOTAL DES NOTIFICATIONS DES MESURES | |
---|---|---|---|---|---|
Total en francs | Total eu euros | ||||
Alsace | 16 050 047 | 5 780 042 | 21 830 089 | 3 327 976 | |
Aquitaine | 35 031 068 | 13 198 058 | 48 225 126 | 7 352 483 | |
Auvergne | 16 918 109 | 5 063 917 | 21 982 026 | 3 351 138 | |
Bourgogne | 21 408 156 | 7 773 735 | 29 181 891 | 4 448 751 | |
Bretagne | 37 920 563 | 5 481 000 | 14 157 926 | 57 559 489 | 8 774 888 |
Centre | 28 896 964 | 9 797 114 | 38 694 078 | 5 898 874 | |
Champagne-Ardenne | 13 313 324 | 4 735 801 | 18 049 125 | 2 751 571 | |
Corse | 977 329 | 320 303 | 1 297 632 | 197 823 | |
Franche-Comté | 9 023 599 | 3 019 705 | 12 043 304 | 1 835 990 | |
Ile-de-France | 81 572 562 | 31 199 624 | 112 772 186 | 17 192 009 | |
Languedoc | 20 974 125 | 7 051 881 | 28 026 006 | 4 272 537 | |
Limousin | 8 305 272 | 2 579 093 | 10 884 365 | 1 659 311 | |
Lorraine | 23 293 005 | 8 687 771 | 31 980 776 | 4 875 438 | |
Midi-Pyrénées | 29 518 165 | 10 563 238 | 40 081 403 | 6 110 370 | |
Nord - Pas-de-Calais | 29 937 020 | 41 851 742 | 71 788 762 | 10 944 126 | |
Basse-Normandie | 18 568 237 | 7 406 558 | 25 974 795 | 3 959 832 | |
Haute-Normandie | 22 684 956 | 9 097 655 | 31 782 611 | 4 845 228 | |
Pays de la Loire | 44 988 492 | 17 218 776 | 62 207 268 | 9 483 437 | |
Picardie | 16 408 198 | 6 442 002 | 22 850 200 | 3 483 491 | |
Poitou-Charentes | 22 375 368 | 8 889 328 | 31 264 696 | 4 766 272 | |
PACA | 42 975 154 | 17 017 740 | 59 992 894 | 9 145 858 | |
Rhône-Alpes | 56 293 534 | 19 985 363 | 76 278 897 | 11 628 643 | |
France métropolitaine | 597 433 247 | 5 481 000 | 251 837 372 | 854 751 619 | 130 306 044 |
Guadeloupe | 452 371 | 118 613 | 570 984 | 87 046 | |
Martinique | 1 200 000 | 2 053 000 | 312 299 | 3 565 299 | 543 526 |
Guyane | 105 000 | 27 408 | 132 408 | 20 185 | |
Réunion | 809 382 | 170 308 | 979 690 | 149 353 | |
DOM | 2 566 753 | 2 053 000 | 628 628 | 5 248 381 | 800 111 |
France entière | 600 000 000 | 7 534 000 | 252 466 000 | 860 000 000 | 131 106 155 |
Bilan des notifications régionales des places de SSIAD 2001
RÉGIONS | NOTIFICATION de 3 600 places sur 9 mois (circ. du 26-01-2001) | NOTIFICATIONS de 166 places sur 12 mois (lettres du 4-05-2001)* | NOTIFICATION de 252 places sur 9 mois (lettres du 6-12-2001) | NOTIFICATION de 157 places sur 9 mois (lettres d'avril 2002) | TOTAL DES NOTIFICATIONS | |
---|---|---|---|---|---|---|
en francs | eu euros | |||||
Alsace | 3 846 801 | 741 552 | 4 588 353 | 699 490 | ||
Aquitaine | 11 262 321 | 308 980 | 11 571 301 | 1 764 033 | ||
Auvergne | 4 078 536 | 617 960 | 4 696 496 | 715 976 | ||
Bourgogne | 4 681 047 | 1 730 288 | 1 158 675 | 370 776 | 7 940 786 | 1 210 565 |
Bretagne | 4 171 230 | 4 171 230 | 635 900 | |||
Centre | 8 620 542 | 741 552 | 9 362 094 | 1 427 242 | ||
Champagne-Ardenne | 2 641 779 | 1 019 634 | 3 661 413 | 558 179 | ||
Corse | 1 529 451 | 1 529 451 | 233 163 | |||
Franche-Comté | 2 178 309 | 308 980 | 2 317 350 | 2 827 167 | 7 631 806 | 1 163 461 |
Ile-de-France | 27 669 159 | 695 205 | 28 364 364 | 4 324 119 | ||
Languedoc-Roussillon | 11 123 280 | 988 736 | 231 735 | 12 343 751 | 1 881 793 | |
Limousin | 1 205 022 | 1 205 022 | 183 704 | |||
Lorraine | 5 144 517 | 926 940 | 1 853 880 | 7 925 337 | 1 208 210 | |
Midi-Pyrénées | 7 044 744 | 2 131 962 | 926 936 | 10 103 642 | 1 540 290 | |
Nord - Pas-de-Calais | 3 754 107 | 741 552 | 4 495 659 | 685 359 | ||
Basse-Normandie | 4 402 965 | 308 980 | 1 205 022 | 1 019 634 | 6 936 601 | 1 057 478 |
Haute-Normandie | 5 932 416 | 5 932 416 | 904 391 | |||
Pays de la Loire | 9 593 829 | 231 735 | 9 825 564 | 1 497 898 | ||
Picardie | 1 714 839 | 1 992 921 | 3 707 760 | 565 244 | ||
Poitou-Charentes | 6 905 703 | 6 905 703 | 1 052 768 | |||
PACA | 21 597 702 | 2 842 616 | 24 440 318 | 3 725 902 | ||
Rhône-Alpes | 15 804 327 | 834 246 | 139 041 | 16 777 614 | 2 557 731 | |
France métropolitaine | 164 902 626 | 10 258 136 | 11 679 444 | 7 276 475 | 194 116 681 | 29 592 897 |
Guadeloupe | 231 735 | 231 735 | 35 328 | |||
Martinique | 1 205 022 | 1 205 022 | 183 704 | |||
Guyane | 46 347 | 46 347 | 7 066 | |||
Réunion | 499 726 | 499 726 | 76 183 | |||
DOM | 1 982 830 | 1 982 830 | 302 280 | |||
France entière | 166 885 456 | 10 258 136 | 11 679 444 | 7 276 475 | 196 099 511 | 29 895 178 |
* Notification des 166 places SSIAD au titre de 2000 (9 mois sur 2000 et 3 mois sur 2001). |
Consolidation des dotations régionales 2001 des EHPAD et SSIAD avant mesures nouvelles et transferts
NOTIFICATIONS DE CRÉDITS : CIRCULAIRE DU 13 AOÛT 2001 | ||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Régions | Dotations régionales arrêtées au 26/01/2001 (en francs) | Notification des augmentations générales du 1er mai et du 1er novembre 2001 * | Attribution de points d'indices supplémentaires au 1er mai 2001 | Mission d'appui à la RTT/ crédits non reconductibles | Avenant FEHAP n° 2001-02 du 20/02/2001 (prime de 2 400 F brut par mois pour les médecins) | |||||
Dotation non reconductible en 2000 | Sur les 12 mois en 2001 | SOUS-TOTAL des dotations régionales après le 13/08/2001 (en francs) | DÉBASAGE des crédits alloués en 2001 à titre non reconductible (en francs) | OPÉRATIONS spécifiques (en francs) | TOTAL DES DOTATIONS régionales avant mesures nouvelles et transferts (en francs) | |||||
Alsace | 414 031 987 | 1 607 425 | 860 389 | 1 000 000 | 58 000 | 173 999 | 417 731 800 | 1 207 155 | 416 524 645 | |
Aquitaine | 971 989 775 | 3 775 005 | 2 020 607 | 3 400 000 | 68 597 | 205 792 | 981 459 777 | 3 818 884 | 977 640 892 | |
Auvergne | 579 450 317 | 2 253 708 | 1 206 318 | 2 800 000 | 29 328 | 87 985 | 585 827 657 | 3 038 452 | 578 789 204 | |
Bourgogne | 575 369 611 | 2 228 463 | 1 192 806 | 2 050 000 | 54 303 | 162 908 | 581 058 091 | 2 311 085 | 578 747 006 | |
Bretagne | 1 044 206 407 | 4 025 824 | 2 154 860 | 4 850 000 | 30 561 | 91 682 | 1 055 359 334 | 5 254 122 | 1 050 105 212 | |
Centre | 877 149 030 | 3 397 205 | 1 818 385 | 2 800 000 | 22 756 | 68 269 | 885 255 645 | 3 137 987 | 882 117 658 | |
Champagne-Ardenne | 380 265 248 | 1 493 687 | 799 510 | 1 100 000 | 16 184 | 48 552 | 383 723 181 | 1 254 785 | 382 468 780 | |
Corse | 42 714 565 | 166 874 | 89 321 | 0 | 11 501 | 34 504 | 43 016 765 | 26 985 | 42 989 780 | |
Franche-Comté | 299 972 690 | 1 168 949 | 625 691 | 600 000 | 26 535 | 79 606 | 302 473 472 | 735 003 | 301 738 468 | |
Ile-de-France | 1 932 788 985 | 7 486 673 | 4 007 311 | 3 650 000 | 354 077 | 1 062 232 | 1 949 349 278 | 4 698 775 | 1 944 650 503 | |
Languedoc- Roussillon | 664 587 029 | 2 598 697 | 1 390 977 | 2 450 000 | 69 912 | 209 735 | 671 306 350 | 2 761 048 | 668 545 302 | |
Limousin | 325 320 620 | 1 276 168 | 683 081 | 1 600 000 | 10 433 | 31 300 | 328 921 602 | 1 728 850 | 327 192 752 | |
Lorraine ** | 661 736 353 | 2 577 353 | 1 379 675 | 1 500 000 | 80 838 | 242 514 | 667 516 962 | 1 820 015 | 2 798 400 | 668 495 347 |
Midi-Pyrénées | 874 097 587 | 3 395 361 | 1 817 398 | 2 900 000 | 30 150 | 90 450 | 882 330 946 | 3 245 210 | 879 085 736 | |
Nord - Pas-de-Calais *** | 807 068 581 | 3 135 302 | 1 678 200 | 3 000 000 | 61 532 | 184 597 | 815 128 212 | 3 352 461 | 16 000 000 | 827 775 751 |
Basse- Normandie | 401 122 837 | 1 546 254 | 827 647 | 1 200 000 | 10 351 | 31 054 | 404 738 144 | 1 353 830 | 403 384 313 | |
Haute- Normandie | 425 704 234 | 1 667 053 | 892 306 | 1 100 000 | 17 252 | 51 756 | 429 432 601 | 1 271 940 | 428 160 661 | |
Pays de Loire | 1 082 843 488 | 4 160 649 | 2 227 026 | 5 150 000 | 30 150 | 90 450 | 1 094 501 763 | 5 566 222 | 1 088 935 541 | |
Picardie | 388 185 483 | 1 522 960 | 815 178 | 1 600 000 | 27 275 | 81 824 | 392 232 720 | 1 768 592 | 390 464 128 | |
Poitou-Charentes | 468 286 917 | 1 822 749 | 975 643 | 2 200 000 | 40 173 | 120 518 | 473 446 000 | 2 409 308 | 471 036 692 | |
Provence- Alpes - Côte-d'Azur | 970 992 529 | 3 767 906 | 2 016 807 | 3 050 000 | 98 172 | 294 517 | 980 219 932 | 3 497 801 | 976 722 130 | |
Rhône-Alpes | 1 580 609 268 | 6 131 731 | 3 282 066 | 5 050 000 | 175 560 | 526 680 | 1 595 775 305 | 5 794 531 | 1 589 980 774 | |
France métropolitaine | 15 768 493 542 | 61 206 225 | 32 761 200 | 53 350 000 | 1 323 641 | 3 970 922 | 15 921 105 530 | 60 053 042 | 18 798 400 | 15 879 550 892 |
Guadeloupe | 48 197 140 | 189 961 | 101 678 | 50 000 | 5 093 | 15 280 | 48 559 153 | 72 720 | 48 486 432 | |
Martinique | 51 084 340 | 200 525 | 107 333 | 100 000 | 5 093 | 15 280 | 51 512 571 | 123 700 | 51 388 871 | |
Guyane | 9 434 120 | 37 183 | 19 903 | 0 | 5 093 | 15 280 | 9 511 579 | 8 543 | 9 503 036 | |
Réunion | 77 833 791 | 278 106 | 148 859 | 100 000 | 5 093 | 15 280 | 78 381 130 | 130 899 | 78 250 230 | |
Sous-total Dom | 186 549 391 | 705 775 | 377 772 | 200 000 | 20 374 | 61 121 | 187 914 433 | 335 864 | 187 628 569 | |
France entière | 15 955 042 933 | 61 912 000 | 33 138 972 | 53 550 000 | 1 344 015 | 4 032 044 | 16 109 019 963 | 60 388 906 | 18 798 400 | 16 067 179 461 |
* Financement de l'augmentation de 0,5 % au 1er décembre 2000. ** SSIAD de Briey. *** Conformément à la lettre de la DHOS en date du décembre 2001. |
Consolidation des dotations régionales 2001 des établissements
et services pour personnes âgées avant prise en compte des transferts
RÉGIONS | TOTAL DES DOTATIONS régionales avant prise en compte des mesures nouvelles et des transferts (en francs) | MESURES NOUVELLES EHPAD (en francs) | MESURES NOUVELLES SSIAD (en francs) | TOTAL DES DOTATIONS régionales avant prise en compte des transferts (en francs) |
---|---|---|---|---|
Alsace | 416 524 645 | 21 830 089 | 4 588 353 | 442 943 087 |
Aquitaine | 977 640 892 | 48 229 126 | 11 571 301 | 1 037 441 319 |
Auvergne | 582 789 204 | 21 982 026 | 4 696 496 | 609 467 726 |
Bourgogne | 578 747 006 | 29 181 891 | 7 940 786 | 651 869 683 |
Bretagne | 1 050 105 212 | 57 559 489 | 4 171 230 | 1 111 835 931 |
Centre | 882 117 658 | 38 694 078 | 9 362 094 | 930 173 830 |
Champagne-Ardenne | 382 468 396 | 18 049 125 | 3 661 413 | 404 178 934 |
Corse | 42 989 780 | 1 297 632 | 1 529 451 | 45 816 863 |
Franche-Comté | 301 738 468 | 12 043 304 | 7 631 806 | 321 413 578 |
Ile-de-France | 1 944 650 503 | 112 772 186 | 28 364 364 | 2 085 787 053 |
Languedoc-Roussillon | 668 545 302 | 28 026 006 | 12 343 751 | 708 915 059 |
Limousin | 327 192 752 | 10 884 365 | 1 205 022 | 339 282 139 |
Lorraine | 668 495 347 | 31 980 776 | 7 925 337 | 708 401 460 |
Midi-Pyrénées | 879 085 736 | 40 081 403 | 10 103 642 | 929 270 781 |
Nord - Pas-de-Calais | 827 775 751 | 71 788 762 | 4 495 659 | 904 060 172 |
Basse-Normandie | 403 384 313 | 25 974 795 | 6 936 601 | 436 295 709 |
Haute-Normandie | 428 160 661 | 31 782 611 | 5 932 416 | 465 875 688 |
Pays de la Loire | 1 088 935 541 | 62 207 268 | 9 825 564 | 1 160 968 373 |
Picardie | 390 464 128 | 22 850 200 | 3 707 760 | 417 022 088 |
Poitou-Charentes | 471 036 692 | 31 264 696 | 6 905 703 | 509 207 091 |
Provence - Alpes - Côte-d'Azur | 976 722 130 | 59 992 894 | 24 440 318 | 1 061 155 342 |
Rhône-Alpes | 1 589 980 774 | 76 278 897 | 16 777 614 | 1 683 037 285 |
France métropolitaine | 15 879 550 892 | 854 751 619 | 194 116 681 | 16 928 419 193 |
Guadeloupe | 48 486 432 | 570 984 | 231 735 | 49 289 151 |
Martinique | 51 388 871 | 3 565 299 | 1 205 022 | 56 159 192 |
Guyane | 9 503 036 | 132 408 | 46 347 | 9 681 790 |
Réunion | 78 250 230 | 979 690 | 499 726 | 79 729 646 |
Sous-total DOM | 187 628 569 | 5 248 381 | 1 982 830 | 194 859 780 |
France entière | 16 067 179 461 | 860 000 000 | 196 099 511 | 17 123 278 973 |
Consolidation des dotations régionales 2001 des établissements et services accueillant
des personnes âgées après prise en compte de l'ensemble des dispositions
RÉGIONS | TOTAL des dotations régionales avant prise en compte des transferts (en francs) | SOLDE des transferts intervenus en 2000 au sein de l'enveloppe médico-sociale entre la conventionnelle et la CRAM (circ. du 13/08/2001)** | SOLDE des transferts intervenus en 2001 entre l'enveloppe sanitaire, l'enveloppe médico-sociale « personnes âgées » et « personnes handicapées » | SOLDE des transferts intervenus entre le 1er novembre 2000 et le 31 octobre 2001 dans le cadre de la réforme des EHPAD | SOLDE des transferts des budgets de soins des établissements et services tarifés par la CRAM | TOTAL des dotations régionales 2001 (en francs) | TOTAL des dotations régionales 2001 (en euros) |
---|---|---|---|---|---|---|---|
Alsace | 442 943 087 | 4 752 478 | 6 945 000 | 454 640 565 | 69 309 507 | ||
Aquitaine | 1 037 441 319 | 253 481 | - 5 427 614 | 45 212 133 | 1 077 479 319 | 164 260 663 | |
Auvergne | 609 467 726 | 22 739 597 | 632 207 323 | 96 379 385 | |||
Bourgogne | 615 869 683 | 14 965 312 | 33 726 949 | 664 561 944 | 101 311 815 | ||
Bretagne | 1 111 835 931 | 5 814 917 | 5 771 562 | - 5 481 000 | 42 238 831 | 1 160 180 241 | 176 868 338 |
Centre | 930 173 830 | - 26 009 516 | 36 509 014 | 940 673 328 | 143 404 724 | ||
Champagne- Ardenne | 404 178 934 | 3 347 880 | 407 526 814 | 62 127 062 | |||
Corse | 45 816 863 | 960 491 | 46 777 354 | 7 131 162 | |||
Franche-Comté | 321 413 578 | - 642 222 | 4 411 036 | 325 182 392 | 49 573 736 | ||
Ile-de-France | 2 085 787 053 | - 2 147 031 | 161 476 902 | 2 245 116 924 | 342 265 869 | ||
Languedoc- Roussillon | 708 915 059 | 1 450 370 | 39 251 450 | 749 616 879 | 114 278 356 | ||
Limousin | 339 282 139 | 1 336 000 | - 1 667 840 | 1 539 871 | 340 490 170 | 51 907 392 | |
Lorraine | 708 401 460 | - 600 000 | 13 277 522 | 721 078 982 | 109 927 782 | ||
Midi-Pyrénées | 929 270 781 | - 500 000 | 66 446 623 | 995 217 404 | 151 719 915 | ||
Nord- Pas-de-Calais * | 904 060 172 | - 18 935 965 | 13 853 408 | 898 977 615 | 137 048 254 | ||
Basse- Normandie | 436 295 709 | 9 270 741 | 445 566 450 | 67 926 167 | |||
Haute- Normandie | 465 875 688 | - 2 744 631 | 14 772 054 | 477 903 111 | 72 855 860 | ||
Pays de Loire | 1 160 968 373 | 2 320 180 | 47 386 371 | 1 210 674 924 | 184 566 202 | ||
Picardie | 417 022 088 | 8 099 736 | 425 121 824 | 64 809 404 | |||
Poitou-Charentes | 509 207 091 | 16 756 493 | 525 963 584 | 80 182 632 | |||
Provence- Alpes - Côte d'Azur | 1 061 155 342 | - 1 253 327 | 103 369 102 | 1 163 271 117 | 177 339 539 | ||
Rhône-Alpes | 1 683 037 285 | 45 072 239 | 1 728 109 524 | 263 448 599 | |||
France métropolitaine | 16 928 419 193 | 11 903 395 | - 29 739 627 | - 10 908 614 | 736 663 443 | 17 636 337 790 | 2 688 642 364 |
Guadeloupe | 49 289 151 | - 3 000 000 | 0 | 46 289 151 | 7 056 736 | ||
Martinique | 56 159 192 | 0 | 56 159 192 | 8 561 414 | |||
Guyane | 9 681 790 | 0 | 9 681 790 | 1 475 979 | |||
Réunion | 79 729 646 | 0 | 79 729 646 | 12 154 706 | |||
Dom | 194 859 780 | 0 | - 3 000 000 | 0 | 0 | 191 859 780 | 29 248 835 |
France entière | 17 123 278 973 | 11 903 395 | - 32 739 627 | - 10 908 614 | 736 663 443 | 17 828 197 570 | 2 717 891 199 |
* Conformément aux dispositions de la lettre de la DHOS du 6 décembre 2001 relative à la situation du Pas-de-Calais. ** Les mouvements de la préfectorale vers la conventionnelle devraient avoir été pris en compte dans les opérations de transfert des budgets de soins (art. 10 de la loi du 20 juillet 2001). |
ANNEXE II - b
Récapitulatif des budgets de soins des établissements
et services tarifés par le préfet à compter du 1er janvier 2002
(Antérieurement tarifés par la CRAM)
Récapitulatif des EHPAD sous compétence tarifaire préfectorale.
Récapitulatif des SSIAD sous compétence tarifaire préfectorale.
(Voir tableau pages suivantes.)
Récapitulatif des EHPAD sous compétence tarifaire préfectorale à compter du 1er janvier 2002
LIBELLÉ de région | CODE département | LIBELLÉ de département | MONTANT DES BUDGETS SOINS EN 2001 | NOMBRE de structures | |
---|---|---|---|---|---|
En francs | En euros | ||||
01. Alsace | 67 | Bas-Rhin | 6 320 700 | 963 585 | 7 |
68 | Haut-Rhin | 624 300 | 95 174 | 1 | |
Total région : 6 945 000 1 058 758 8 | |||||
02. Aquitaine | 24 | Dordogne | 9 699 854 | 1 478 733 | 4 |
33 | Gironde | 22 431 158 | 3 419 608 | 14 | |
47 | Lot-et-Garonne | 388 976 | 59 299 | 1 | |
64 | Pyrénées-Atlantiques | 12 692 145 | 1 934 905 | 8 | |
Total région : 45 212 133 6 892 545 27 | |||||
03. Auvergne | 03 | Allier | 3 819 663 | 582 304 | 4 |
15 | Cantal | 5 533 988 | 843 651 | 2 | |
43 | Haute-Loire | 1 165 342 | 177 655 | 1 | |
63 | Puy-de-Dôme | 12 220 604 | 1 863 019 | 8 | |
Total région : 22 739 597 3 466 629 15 | |||||
04. Bourgogne | 21 | Côte-d'Or | 14 121 159 | 2 152 757 | 9 |
58 | Nièvre | 5 007 833 | 763 439 | 3 | |
71 | Saône-et-Loire | 1 212 292 | 184 813 | 1 | |
89 | Yonne | 4 525 607 | 689 924 | 4 | |
Total région : 24 866 891 3 790 933 17 | |||||
05. Bretagne | 22 | Côtes-d'Armor | 11 801 555 | 1 799 135 | 8 |
29 | Finistère | 21 191 720 | 3 230 657 | 17 | |
35 | Ille-et-Vilaine | 3 348 899 | 510 536 | 4 | |
56 | Morbihan | 5 896 657 | 898 940 | 6 | |
Total région : 42 238 831 6 439 268 35 | |||||
06. Centre | 18 | Cher | 9 825 018 | 1 497 814 | 8 |
28 | Eure-et-Loir | 445 293 | 67 884 | 1 | |
36 | Indre | 6 560 196 | 1 000 095 | 4 | |
37 | Indre-et-Loire | 2 641 283 | 402 661 | 5 | |
41 | Loir-et-Cher | 11 906 923 | 1 815 199 | 5 | |
45 | Loiret | 5 130 301 | 782 109 | 3 | |
Total région : 36 509 014 5 565 763 26 | |||||
07. Champagne-Ardennes | 10 | Aube | 597 120 | 91 030 | 1 |
51 | Marne | 2 750 760 | 419 351 | 3 | |
Total région : 3 347 880 510 381 4 | |||||
08. Corse | 2 A | Corse-du-Sud | 960 491 | 146 426 | 1 |
Total région : 960 491 146 426 1 | |||||
09. Franche-Comté | 25 | Doubs | 1 644 437 | 250 693 | 2 |
39 | Jura | 1 279 193 | 195 012 | 2 | |
70 | Haute-Saône | 1 487 406 | 226 754 | 2 | |
Total région : 4 411 036 672 458 6 | |||||
10. Ile-de-France | 75 | Paris | 25 228 766 | 3 846 101 | 14 |
77 | Seine-et-Marne | 29 283 610 | 4 464 258 | 18 | |
78 | Yvelines | 26 509 552 | 4 041 355 | 14 | |
91 | Essonne | 28 802 647 | 4 390 935 | 14 | |
92 | Hauts-de-Seine | 15 627 934 | 2 382 463 | 11 | |
93 | Seine-Saint-Denis | 19 275 641 | 2 938 553 | 9 | |
94 | Val-de-Marne | 4 875 831 | 743 316 | 3 | |
95 | Val-d'Oise | 11 872 921 | 1 810 015 | 6 | |
Total région : 161 476 902 24 616 995 89 | |||||
11. Languedoc-Roussillon | 11 | Aude | 6 860 892 | 1 045 936 | 2 |
30 | Gard | 367 228 | 55 984 | 1 | |
34 | Hérault | 19 593 632 | 2 987 030 | 15 | |
66 | Pyrénées-Orientales | 12 429 698 | 1 894 895 | 8 | |
Total région : 39 251 450 5 983 845 26 | |||||
12. Limousin | 19 | Corrèze | 1 539 871 | 234 752 | 1 |
Total région : 1 539 871 234 752 1 | |||||
13. Lorraine | 54 | Meurthe-et-Moselle | 6 508 122 | 992 157 | 4 |
57 | Moselle | 6 769 400 | 1 031 988 | 6 | |
Total région : 13 277 522 2 024 145 0 | |||||
14. Midi-Pyrénées | 09 | Ariège | 1 371 437 | 209 074 | 2 |
12 | Aveyron | 9 263 877 | 1 412 269 | 8 | |
31 | Haute-Garonne | 48 406 474 | 7 379 519 | 28 | |
32 | Gers | 924 505 | 140 940 | 2 | |
46 | Lot | 1 772 427 | 270 205 | 1 | |
65 | Hautes-Pyrénées | 3 486 218 | 531 471 | 3 | |
81 | Tarn | 1 221 685 | 186 245 | 1 | |
Total région : 66 446 623 10 129 722 45 | |||||
15. Nord-Pas-de-Calais | 59 | Nord | 5 149 197 | 784 990 | 8 |
62 | Pas-de-Calais | 8 704 211 | 1 326 948 | 5 | |
Total région : 13 853 408 2 111 938 13 | |||||
16. Basse-Normandie | 14 | Calvados | 6 121 709 | 933 249 | 5 |
50 | Manche | 2 345 114 | 357 510 | 2 | |
61 | Orne | 803 918 | 122 557 | 1 | |
Total région : 9 270 741 1 413 315 8 | |||||
17. Haute-Normandie | 27 | Eure | 1 604 649 | 244 627 | 2 |
76 | Seine-Maritime | 13 167 405 | 2 007 358 | 16 | |
Total région : 14 772 054 2 251 985 18 | |||||
18. Pays de la Loire | 44 | Loire-Atlantique | 15 111 455 | 2 303 726 | 17 |
49 | Maine-et-Loire | 12 426 632 | 1 894 428 | 9 | |
53 | Mayenne | 1 982 728 | 302 265 | 2 | |
72 | Sarthe | 729 692 | 111 241 | 2 | |
85 | Vendée | 4 176 024 | 636 631 | 4 | |
Total région : 34 426 531 5 248 291 34 | |||||
19. Picardie | 02 | Aisne | 627 759 | 95 701 | 1 |
60 | Oise | 6 926 554 | 1 055 946 | 4 | |
80 | Somme | 545 423 | 83 149 | 1 | |
Total région : 8 099 736 1 234 797 6 | |||||
20. Poitou-Charentes | 16 | Charente | 3 249 960 | 495 453 | 4 |
17 | Charente-Maritime | 1 750 179 | 266 813 | 1 | |
79 | Deux-Sèvres | 6 244 564 | 951 978 | 3 | |
86 | Vienne | 5 511 790 | 840 267 | 6 | |
Total région : 16 756 493 2 554 511 14 | |||||
21. Provence-Alpes-Côte d'Azur | 04 | Alpes-de-Haute-Provence | 479 790 | 73 144 | 1 |
06 | Alpes-Maritimes | 31 841 641 | 4 854 227 | 23 | |
13 | Bouches-du-Rhône | 44 929 028 | 6 849 386 | 27 | |
83 | Var | 24 356 791 | 3 713 169 | 12 | |
84 | Vaucluse | 1 761 852 | 268 593 | 1 | |
Total région : 103 369 102 15 758 518 64 | |||||
22. Rhône-Alpes | 01 | Ain | 2 154 194 | 328 405 | 3 |
26 | Drôme | 5 302 396 | 808 345 | 4 | |
38 | Isère | 2 431 520 | 370 683 | 2 | |
42 | Loire | 2 709 645 | 413 083 | 5 | |
69 | Rhône | 27 758 639 | 4 231 777 | 17 | |
74 | Haute-Savoie | 4 715 845 | 718 926 | 5 | |
Total région : 45 072 239 6 871 219 36 | |||||
Total national : 714 843 545 108 977 196 503 |
Récapitulatif des SSIAD sous compétence tarification préfectorale
à compter du 1er janvier 2002
libellé de région | CODE département | libellé de département | MONTANT des budgets soins | NOMBRE de SSIAD | |
---|---|---|---|---|---|
En francs | En euros | ||||
04. Bourgogne | 21 | Côte-d'Or | 8 860 058 | 1 350 707 | 1 |
Total région : 8 860 058 1 350 707 1 | |||||
18. Pays de la Loire | 44 | Loire-Atlantique | 9 373 086 | 1 428 918 | 3 |
53 | Mayenne | 3014 133 | 459 502 | 1 | |
85 | Vendée | 572 621 | 87 296 | 1 | |
Total région : 12 959 840 1 975 715 5 | |||||
Total national : 21 819 898 3 326 422 6 |
ANNEXE II - C
Notification des dotations régionales de dépenses
médico-sociales EHPAD et SSIAD pour 2002
Notification et décomposition des dotations régionales de dépenses d'assurance maladie des EHPAD et SSIAD pour 2001
RÉGIONS | BASE de référence pour 2002 (en euros) | APPORT en reconduction (2) (en euros) | FINANCEMENT au titre de la RTT (en euros) | EXTENSION EN ANNÉE PLEINE des mesures nouvelles 2001 (en euros) | |||
---|---|---|---|---|---|---|---|
EHPAD (au 31/12/2001) | SSIAD | MESURES nouvelles 2002 : SSIAD EHPAD, AJ, HB | DOTATIONS régionales 2002 (en euros) | ||||
Alsace | 69 309 507 | 1 510 437 | 1 362 117 | 381 646 | 195 480 | 2 448 295 | 75 207 482 |
Aquitaine | 164 260 663 | 3 579 672 | 4 068 962 | 3 255 090 | 572 310 | 10 974 877 | 186 711 574 |
Auvergne | 96 379 385 | 2 100 360 | 3 104 408 | 749 442 | 207 256 | 2 078 580 | 104 619 431 |
Bourgogne | 101 311 815 | 2 207 851 | 2 764 056 | 2 152 943 | 315 595 | 4 262 708 | 113 014 969 |
Bretagne | 176 868 338 | 3 854 426 | 4 058 104 | 3 293 798 | 211 967 | 8 200 273 | 196 486 906 |
Centre | 143 404 724 | 3 125 166 | 4 563 558 | 2 980 701 | 438 064 | 4 963 603 | 159 475 816 |
Champagne- Ardenne | 62 127 062 | 1 353 912 | 1 992 121 | 1 849 137 | 186 060 | 1 808 248 | 69 316 540 |
Corse | 7 131 162 | 155 407 | 0 | 0 | 77 721 | 515 838 | 7 880 128 |
Franche-Comté | 49 573 736 | 1 080 342 | 1 248 423 | 1 356 271 | 372 119 | 3 053 713 | 56 684 605 |
Ile-de-France | 342 265 869 | 7 458 874 | 6 252 254 | 3 171 699 | 1 441 373 | 18 875 642 | 379 465 711 |
Languedoc-Roussillon | 114 278 356 | 2 490 426 | 2 869 060 | 6 022 053 | 577 020 | 6 776 985 | 133 013 900 |
Limousin | 51 907 392 | 1 131 199 | 1 677 119 | 755 029 | 61 235 | 1 455 635 | 56 987 609 |
Lorraine | 109 927 782 | 2 395 616 | 2 134 051 | 574 100 | 355 633 | 2 863 419 | 118 250 602 |
Midi-Pyrénées | 151 719 915 | 3 306 676 | 3 334 682 | 6 277 106 | 513 430 | 13 081 132 | 178 232 641 |
Nord - Pas-de-Calais | 137 048 254 | 2 986 642 | 3 019 680 | 1 903 157 | 190 770 | 14 485 275 | 159 633 777 |
Basse- Normandie | 67 926 167 | 1 480 290 | 1 819 049 | 3 352 010 | 336 791 | 4 524 499 | 79 438 807 |
Haute- Normandie | 72 855 860 | 1 587 721 | 2 324 503 | 0 | 301 464 | 2 526 288 | 79 595 835 |
Pays de Loire | 184 566 202 | 4 022 183 | 4 373 107 | 1 786 497 | 499 299 | 6 487 681 | 201 734 969 |
Picardie | 64 809 404 | 1 412 367 | 1 924 053 | 2 770 136 | 188 415 | 4 612 827 | 75 717 202 |
Poitou-Charentes | 80 182 632 | 1 747 391 | 2 239 055 | 5 156 029 | 350 923 | 7 226 041 | 96 902 070 |
Provence - Alpes Côte-d'Azur | 177 339 539 | 3 864 695 | 3 346 268 | 6 618 247 | 1 097 516 | 11 601 444 | 203 867 709 |
Rhône-Alpes | 263 448 599 | 5 741 238 | 6 126 984 | 4 758 124 | 852 577 | 14 803 949 | 295 731 471 |
France métropolitaine | 2 688 642 364 | 58 592 591 | 64 601 616 | 59 163 215 | 9 343 018 | 147 634 215 | 3 027 977 018 |
Guadeloupe | 7 056 736 | 153 785 | 91 241 | 0 | 11 776 | 325 073 | 7 638 611 |
Martinique | 8 561 414 | 186 576 | 186 537 | 302 689 | 61 235 | 1 820 114 | 11 118 564 |
Guyane | 1 475 979 | 32 165 | 50 689 | 0 | 2 355 | 90 452 | 1 651 641 |
Réunion (1) | 12 154 706 | 1 134 883 | 130 735 | 0 | 25 394 | 423 396 | 13 869 114 |
DOM | 29 248 835 | 1 507 409 | 459 202 | 302 689 | 100 760 | 2 659 035 | 34 277 930 |
France entière | 2 717 891 199 | 60 100 000 | 65 060 817 | 59 465 904 | 9 443 778 | 150 293 250 | 3 062 254 948 |
(1) Dont crédits au titre de l'accord du SAPRESS. (2) Les crédits relatifs aux mesures concernant le secteur public ont été réparties au niveau régional en fonction du poids du secteur (enquête DAS 1998). Les différents taux d'évolution tiennent compte de la part des dépenses de personnel dans le total des dépenses SCM/SC et SSIAD, soit respectivement 90 et 80 %. |
ANNEXE II - D
Bilan des dotations régionales des unités de soins de longue durée pour l'année 2001
RÉGIONS | DOTATIONS régionales pour 2001 arrêtées au 26 janvier 2001 (en francs) | CIRCULAIRES DU 13/08/2001 | |||||
---|---|---|---|---|---|---|---|
Augmentations générales du 1er mai et du 1er novembre 2001 | Attribution de points d'indices supplémentaires au 1er mai 2001 | MOUVEMENTS entre enveloppes dans le cadre de la réforme des EHPAD (1) | MOUVEMENTS entre enveloppes hors réforme des EHPAD | DOTATIONS régionales finales pour 2001 (en francs) | DOTATIONS RÉGIONALES finales pour 2001 en euros | ||
Alsace | 377 462 056 | 1 502 291 | 979 684 | 379 944 031 | 57 922 094 | ||
Aquitaine | 281 494 674 | 1 120 343 | 730 605 | 5 427 614 | 288 773 236 | 44 023 196 | |
Auvergne | 276 834 787 | 1 101 796 | 718 511 | 278 655 094 | 42 480 695 | ||
Bourgogne | 314 781 328 | 1 252 823 | 816 999 | - 5 000 009 | 311 851 141 | 47 541 400 | |
Bretagne | 610 669 377 | 2 430 451 | 1 584 961 | 5 481 000 | 620 165 789 | 94 543 665 | |
Centre | 467 525 352 | 1 860 740 | 1 213 438 | 3 278 395 | 473 877 925 | 72 242 224 | |
Champagne- Ardenne | 206 947 691 | 823 647 | 537 122 | 208 308 460 | 31 756 420 | ||
Corse | 33 248 951 | 132 330 | 86 296 | 33 467 577 | 5 102 099 | ||
Franche- Comté | 177 265 240 | 705 512 | 460 083 | 178 430 835 | 27 201 605 | ||
Ile-de-France | 941 901 441 | 3 748 747 | 2 444 657 | 1 867 316 | 949 962 161 | 144 820 798 | |
Languedoc- Roussillon | 273 621 880 | 1 089 009 | 710 172 | 275 421 061 | 41 987 670 | ||
Limousin | 240 968 025 | 952 371 | 625 420 | 2 417 840 | 244 963 656 | 37 344 469 | |
Lorraine | 293 359 910 | 1 167 566 | 761 401 | 295 288 877 | 45 016 499 | ||
Midi-Pyrénées | 315 162 434 | 1 245 608 | 817 988 | 317 226 030 | 48 360 797 | ||
Nord - Pas-de-Calais (2) | 435 658 165 | 1 733 910 | 1 130 729 | 19 000 000 | 457 522 804 | 69 748 902 | |
Basse- Normandie | 198 478 782 | 789 941 | 515 142 | 199 783 865 | 30 456 854 | ||
Haute- Normandie | 226 079 416 | 899 791 | 586 778 | 2 639 101 | 230 205 086 | 35 094 539 | |
Pays de Loire | 532 957 380 | 2 121 159 | 1 383 264 | 8 451 637 | 544 93 440 | 83 071 518 | |
Picardie | 261 876 886 | 1 042 264 | 679 688 | 263 598 838 | 40 185 384 | ||
Poitou-Charente | 222 289 755 | 884 708 | 576 942 | 223 751 405 | 34 110 682 | ||
Provence -Alpes- Côte-d'Azur | 350 479 955 | 1 394 902 | 909 653 | 879 280 | 353 663 790 | 53 915 697 | |
Rhône-Alpes | 1 026 308 268 | 4 084 684 | 2 663 731 | 2 338 829 | 1 035 395 512 | 157 845 028 | |
France métropolitaine | 8 065 371 753 | 32 100 000 | 20 933 263 | 10 908 614 | 35 872 389 | 8 165 186 019 | 1 244 774 584 |
Guadeloupe | 21 440 779 | 85 329 | 55 648 | 21 581 756 | 3 290 117 | ||
Martinique | 20 576 667 | 81 890 | 53 406 | 20 771 963 | 3 157 518 | ||
Guyane | 5 892 877 | 23 452 | 15 295 | 5 931 624 | 904 270 | ||
Réunion | 8 625 835 | 34 329 | 22 388 | 8 682 552 | 1 323 647 | ||
DOM | 56 536 158 | 225 000 | 146 737 | 0 | 0 | 56 907 895 | 8 675 553 |
France entière | 8 121 907 911 | 32 325 000 | 21 080 000 | 10 908 614 | 35 872 389 | 8 222 093 914 | 1 253 450 137 |
(1) Mouvements intervenus entre le 1er novembre 2000 et le 30 octobre 2001. (2) Transfert USLD conformément aux dispositions de la lettre de la DHOS en date du 6 décembre 2001. |
ANNEXE II - e
Bilan des dotations régionales des dépenses des USLD pour 2002
RÉGIONS | DOTATIONS RÉGIONALES finales pour 2001 (en euros) | FINANCEMENT AU TITRE de la RTT (1) (en euros) | APPORT en reconduction (en euros) | DOTATIONS RÉGIONALES pour 2002 en euros |
---|---|---|---|---|
Alsace | 57 922 094 | 619 876 | 1 322 910 | 59 864 880 |
Aquitaine | 44 023 196 | 656 083 | 1 005 467 | 45 684 746 |
Auvergne | 42 480 695 | 619 876 | 970 237 | 44 070 808 |
Bourgogne | 47 541 400 | 756 742 | 1 085 821 | 49 383 963 |
Bretagne | 94 543 665 | 1 312 165 | 2 159 328 | 98 015 158 |
Centre | 72 242 224 | 1 066 680 | 1 649 975 | 74 958 879 |
Champagne-Ardenne | 31 756 420 | 583 669 | 725 300 | 33 065 389 |
Corse | 5 102 099 | 72 413 | 116 529 | 5 291 042 |
Franche-Comté | 27 201 605 | 346 145 | 621 270 | 28 169 020 |
Ile-de-France | 144 820 798 | 4 202 266 | 3 307 631 | 152 330 695 |
Languedoc-Roussillon | 41 987 670 | 656 083 | 958 976 | 43 602 729 |
Limousin | 37 344 469 | 583 669 | 852 928 | 38 781 066 |
Lorraine | 45 016 499 | 483 010 | 1 028 153 | 46 527 662 |
Midi-Pyrénées | 48 360 797 | 756 742 | 1 104 535 | 50 222 073 |
Nord - Pas-de-Calais | 69 748 902 | 966 021 | 1 593 028 | 72 307 950 |
Basse-Normandie | 30 456 854 | 519 217 | 695 619 | 31 671 690 |
Haute-Normandie | 35 094 539 | 583 669 | 801 541 | 36 479 749 |
Pays de Loire | 83 071 518 | 1 376 618 | 1 897 310 | 86 345 446 |
Picardie | 40 185 384 | 619 876 | 917 813 | 41 723 073 |
Poitou-Charente | 34 110 682 | 519 217 | 779 070 | 35 408 969 |
Provence - Alpes-Côte-d'Azur | 53 915 697 | 756 742 | 1 231 406 | 55 903 845 |
Rhône-Alpes | 157 845 028 | 2 342 638 | 3 605 098 | 163 792 765 |
France métropolitaine | 1 244 774 584 | 20 399 416 | 28 430 000 | 1 293 604 001 |
Guadeloupe | 3 290 117 | 50 689 | 550 522 | 3 891 329 |
Martinique | 3 157 518 | 50 689 | 69 729 | 3 277 937 |
Guyane | 904 270 | 0 | 19 969 | 924 239 |
Réunion | 1 323 647 | 55 396 | 29 231 | 1 408 274 |
DOM | 8 675 553 | 156 775 | 669 451 | 9 501 778 |
France entière | 1 253 450 137 | 20 556 191 | 29 099 451 | 1 303 105 779 |
(1) Conformément aux instructions ministérielles en date du 14 novembre 2001. |
ANNEXE II - f
Détermination du montant des forfaits globaux de soins
attribués aux établissements en 2002
Région :
Nom et coordonnées du responsable du dossier :
A adresser à la DHOS/bureau F2 pour le 15 juin 2002.
NOM du département | NOMBRE d'établissements concernés par la réforme de la tarification * | NOMBRE d'établissements relevant de l'article 5 ** au 1er janvier 2002 | MONTANTS des forfaits globaux de soins alloués aux établissements en 2001 et reconduits en 2002 *** |
---|---|---|---|
Total de la région : | |||
* Médico-sociaux exclusivement. Les USLD ne sont donc pas concernées. ** Tarification provisoire conformément aux dispositions de la loi du 20 janvier 2001. *** En application des dispositions de l'article 5 et avant réactualisation des moyens et allocation de crédits au titre de la RTT. |
ANNEXE II - G
Dispositions relatives au protocole filière du 14 mars 2001
Protocole filière du 14 mars 2001
Dans les secteurs médico-social (EHPAD et SSIAD) et sanitaire pour les unités de soins de longue durée, seules les mesures en faveur des personnels paramédicaux, notamment les infirmières, et des cadres (les surveillants-chefs et surveillants) s'appliquent.
1. Classement indiciaire intermédiaire des infirmières
Le coût moyen chargé des dispositions du protocole - classement indiciaire intermédiaire en deux grades, quota d'accès au 2e grade doublé en 3 ans, relèvement de l'indice de fin de premier grade et de fin de carrière, soit 7 % de la rémunération - a été estimé à 4 387 francs par ETP concerné.
(Cf. clé de répartition du sanitaire.)
2. Revalorisation des fonctions d'encadrement et création d'un corps
de cadres de santé
La répartition du personnel d'encadrement de la FPH sanitaire a été reprise dans le secteur médico-social. Elle a ainsi permis de déterminer le nombre d'infirmières générales, de surveillants-chefs et de surveillants.
Le coût moyen chargé par ETP de ces dispositions a été évalué respectivement à 35 892 francs, 20 525 francs et 16 100 francs.
L'intégration des surveillants-chefs dans ce nouveau corps s'effectuera en 2002 ; l'intégration des surveillants-chefs s'effectuera quant à elle sur 3 ans à compter du 1er janvier 2002 à raison de :
(Cf. clé de répartition du sanitaire.)
Le chiffrage de ces mesures a été étendu au secteur privé à but non lucratif.
supprimé pour essai voir PF problème sur Supplément
ANNEXE II - H
Fongibilité entre les différentes enveloppes (hors convention tripartite)
Entre le sanitaire et le médico-social, la sous-enveloppe 3 et 4, autres
Suivi des opérations de fongibilité effectuées sur l'exercice 2002.
Suivi des opérations de fongibilité effectuées sur l'exercice 2002 entre les sous-enveloppes 3 et 4.
(Voir tableau page suivante.)
Suivi des opérations de fongibilité effectuées sur l'exercice 2002
(hors conventions tripartites)
Région :
Nom et coordonnées du correspondant régional :
A la DHOS, sous-direction des affaires financières, bureau du financement de l'hospitalisation publique et des activités spécifiques de soins pour les personnes âgées (F 2).
NUMÉRO Finess de l'établissement | OPÉRATION (1) | OPÉRATION DE DÉPART | OPÉRATION D'ARRIVÉE | DATE D'EFFET du transfert | EFFETS EN année pleine pour 2003 | ||
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Champ d'origine | Montant pour 2002 | Champ de destination | Montant pour 2002 | ||||
Total : | |||||||
(1) Remplir une ligne par opération en précisant sa nature, le nom des établissements et leurs lieux d'implantations. |
Suivi des opérations de transferts effectuées sur l'exercice 2002
entre les sous-enveloppes 3 « personnes âgées » et 4 « personnes handicapées »
Région :
Nom et coordonnées du correspondant régional :
Cette fiche doit être envoyée pour le 1er septembre au plus tard :
- à la DGAS, sous-direction des institutions et des affaires juridiques et financières, bureau budgets et finances (5C) ;
- à la DHOS, sous-direction des affaires financières, bureau du financement de l'hospitalisation publique et des activités spécifiques de soins pour les personnes âgées (F2).
NUMÉRO FINESS de l'établissement | OPÉRATION (1) | DE LA SOUS-ENVELOPPE 3 « personnes âgées » vers la sous-enveloppe 4 « personnes handicapées » | DE LA SOUS-ENVELOPPE 4 « personnes handicapées » vers la sous-enveloppe 3 « personnes âgées » | DATE d'effet du transfert | EFFETS en année pleine pour 2003 | ||
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Champ d'origine : | Champ de destination : | Champ d'origine : | Champ destinataire | ||||
SCM/SC ou SSIAD | Sous-enveloppe « personnes handicapées » | Sous-enveloppe « personnes handicapées » | Sous-enveloppe « personnes âgées » | ||||
Montant pour 2002 | Montant pour 2002 | Montant pour 2002 | Montant pour 2002 | ||||
Total : | |||||||
(1) Remplir une ligne par opération en précisant sa nature, le nom des établissements et leurs lieux d'implantations. |